Les poubelles et les goélands du #Havre #LH

A force de lire tout un tas d’articles sur les nuisances des goélands du Havre, je suis très surpris de ne jamais avoir vu abordé le problème des poubelles publiques situées sur les trottoirs. En effet, qui n’a pas remarqué en ville basse que ces poubelles sont devenues des vraies mangeoires pour ces volatiles ?


Il m’est arrivé de voir un des ces oiseaux le corps complètement plongé dans une poubelle à tel point que je me demandais à ce moment là comment il ressortirait ! Après leur passage dans une poubelle, c’est souvent le carnage à 3 mètres à la ronde: Tout est sorti: Du vieux sac de chips au sac de crotte bien ficelé. C’est la désolation et une sacré atteinte à l’image de marque de la ville et de ses habitants.


Il ne doit pas être bien compliqué d’imaginer des poubelles adaptées à notre environnement marin, mille sabords ! Dans les parcs nationaux américains il y a bien des poubelles que les ours ne peuvent pas ouvrir, pourquoi nous, nous n’aurions pas des poubelles où les oiseaux ne peuvent pas se nourrir ? Bien sûr, il ne faut pas faire appel à n’importe quel cabinet de design ou d’architecte (on va éviter Jean Nouvel pour nous dessiner une nouvelle poubelle…)
Non, une petite poubelle, avec un « petit couvercle » fixe permettant à une main de s’y glisser et d’y glisser une petit bouteille, cela devrait être suffisant. Ou pourquoi ne pas lancer un concours de design de poubelle alliant beauté et fonctionnalité ? (N’est-ce pas ça le design ?).

Note: j’avais déjà publié ce post il y a 8 ans le 12 juin 2012 …Nos dirigeants n’avaient peut-être pas le web à l’époque…

De la cassette audio à l’iPhone

C’est allongé dans une chaise longue, sur le balcon, les AirPods (pro !) vissés dans les oreilles que des bouffées de nostalgie me reviennent parfois. T’as remarqué comme la musique est propice à faire remonter des souvenirs enfouis au plus profond de ton bac à sable perso ? Et là, j’écoute les Beatles, l’album « Help ! », une vieille connaissance… Bien avant de sombrer dans les univers de Louis-Ferdinand Thiéfaine et d’Hubert-Felix Céline d’une adolescence enfumée, je découvrais les Beatles. J’avais neuf ans. J’étais en CM2. C’était presque hier… Mes parents (mais j’imagine que c’est plutôt sur l’impulsion de mon Papa) avaient acheté un magnétophone à K7 Philips.

Un petit machin dans une sacoche en skaï, pas stéréo (à l’époque, de toute façon, la stéréo, j’ignorais ce que c’était, je l’ai découvert 2 ans plus tard), pas auto-reverse, un truc avec un micro externe. Je me souviens du premier soir à la maison: Pouvoir écouter sa voix provenant d’un appareil, c’était un peu magique. Nous étions, mon frère et moi comme deux petits kenyans à qui l’on montre la photo numérique que l’on vient de prendre. De mémoire, mon Papa avait acheté deux K7 enregistrées: « Help ! » et un best of de Jean Claude Borelly (celui qui jouait Dolannes Melodie, gros succès de l’époque). La K7 des Beatles, je crois que je l’ai usée… Je ne comprenais rien à l’anglais, les paroles n’étaient écrites nulle part mais c’était la première fois que je pouvais écouter des chansons comme je voulais (ou presque, il fallait quand même rembobiner la K7 pour re-écouter, et ça, c’était super long…).

Toujours est-il que ce magnéto , il a fait du chemin. Mon Papa avait installé un système permettant de le brancher sur un haut parleur dans la GS familiale (une Citroën, une vraie de l’époque où l’on pouvait changer ses ampoules de phares sans envoyer chier la terre entière). Ainsi, nous sommes partis visiter une bonne partie de l’Europe (jusqu’en Cappadoce, en Turquie: A quatre dans la voiture, en camping et sans galerie, un authentique exploit … Avec le recul, je me demande si mes parents n’étaient pas un peu fous !). Avec quatre ou cinq K7 dans la voiture, nous étions loin d’Apple Musique ou de Spotify qui « offrent » le streaming sans lequel je me sens tout nu ! Et dans tous ces morceaux, je te le donne en mille, « Help ! », que je connais à un point que je pense qu’il est associé à mon ADN. Il est loin le temps de la K7 audio… Je ne regrette rien, en plus de 45 ans, la technologie a évolué d’une manière foudroyante et plutôt dans le bon sens… Non, ce que je regrette, finalement, c’est que c’est presque trop facile maintenant ….

Ce texte est dédié à mes Parents ♡

Les cabanes de plage du #Havre #LH

Loin de moi l’idée de dénigrer le bonheur de ceux qui détiennent un emplacement sur la plage pour y déposer leur cabane. Je ne suis pas jaloux de leur privilège. Ce n’est pas mon truc d’être astreint à la sédentarité sur une plage.

Non, ce qui me chiffonne, c’est la méthode d’attribution de ces emplacements par la ville du Havre: « Pour obtenir un emplacement : il faut attendre que l’un deux soit libéré. Les places sont rares » (à la date d’aujourd’hui, c’est marqué « deux » au lieu de « d’eux » sur le site de la ville mais je vous assure qu’il y a plus de deux emplacements …).

Cette méthode d’attribution me semble parfaitement injuste: Les familles se refilent les locations de génération en génération bénéficiant d’une « résidence secondaire » à vies (volontaire le pluriel). Les places libérées sont rares … Tu m’étonnes Yvonne !

Ne serait-il pas « plus juste » d’attribuer la location pour un bail de 3 ou 4 ans ? Permettre aux personnes inscrites sur la liste d’attente de bénéficier de ce privilège au moins une fois dans leur vie ? (Je précise que je ne suis en aucun cas sur cette liste !).

Je suis donc étonné de ce système que je trouve un peu archaïque (j’y vois ici un relent d’embauche « à la docker « ) qui plus est pour l’attribution d’une parcelle de lieu public.

Voilà… Et vous, vous en pensez quoi ?

La gratuité des applications sur smartphone: Le beurre et l’argent du beurre ?

Lorsque Apple met en avant une application sur son App Store, il m’arrive d’aller jeter un coup d’œil curieux sur les copies d’écran et autres vidéos faisant la promotion de l’appli à l’intérieur du Store.

L’application y est décrite par ses concepteurs et on y trouve aussi d’autres éléments comme les commentaires. C’est précisément sur ces commentaires et l’évaluation de l’application que je souhaite revenir…

Lorsque l’application en question est un jeu, il est très fréquent que ce jeu propose le premier niveau gratuitement ou plus généralement que l’on puisse jouer de façon basique gratuitement au jeu. C’est une technique assez commune et ma foi assez judicieuse pour découvrir le jeu et décider si, oui ou non, il est intéressant d’acheter l’application.

Quantité de gens téléchargent donc l’application, commencent à jouer et laissent ensuite une appréciation et une notation dans le store. La notation va de 0 à 5 étoiles et beaucoup de personnes mettent 2 ou 3 étoiles accompagnées d’un commentaire indiquant qu’ils ont bien apprécié le jeu mais que c’est vraiment dommage qu’il faille payer pour avoir plus …

J’imagine que ces gens qui veulent avoir les applications et jeux gratuits travaillent bénévolement dans leur vie. Comment peuvent-ils imaginer que des concepteurs d’application, dont c’est le métier et très souvent l’unique source de revenu, travaillent dur pour donner le résultat de leur labeur à tout le monde sans contrepartie ? C’est hallucinant ! Les gens commencent à oublier qu’il y a une économie, des familles, derrière ces applications. Lorsque l’application est seulement financée par la publicité, ces mêmes gens se plaignent des pubs qui troublent « l’expérience de jeu ». Rien ne les force à jouer pourtant !

La notation des applications ne doit pas être un exutoire à la colère de personnes déçues de devoir payer pour avoir plus. Pour cela, il faudrait que seules les personnes ayant acheté l’application puissent déposer commentaires et notations. Nous aurions alors une notation bien plus significative du rapport qualité/prix de l’application et ainsi un classement vraiment pertinent des applications dans les stores.

Train-train quotidien et les avantages du cheminot…

Il m’arrive de prendre le train entre Le Havre et La Capitale (et dans l’autre sens pour le retour). Au départ du Havre, en général, l’installation dans un wagon se passe sans trop de problème et j’observe à chaque fois le même rituel:

  • Arriver toujours avec 10 minutes d’avance
  • M’installer à une place seule (en première classe, ce n’est pas une disposition 2-2 mais 2-1). En général, en prenant le train vers 6h30, cela ne pose pas de problème. J’ai une petite préférence pour les places situées dans le sens de la marche. Nous n’avons pas cet astucieux système de banquette tournante que j’avais remarqué il y a quelques années dans les trains de banlieue de Sydney: En un tour de main, le dossier devient siège et vice versa, ce qui permet d’orienter chaque siège dans le sens voulu, j’avais trouvé cela très astucieux (il me semble avoir vu également ce système au Japon).
  • Au cours de l’installation, vérifier que la place n’est pas réservée: Cela m’est déjà arrivé de m’asseoir le premier dans un wagon vide, et une fois celui-ci bien rempli (c’était au départ de Paris), d’avoir un Monsieur qui s’approche de moi, bien embêté et qui s’excuse mais me fait remarquer, réservation bien en évidence, que je suis assis à sa place … Grand moment de solitude ….

Bref, tout ça pour vous dire qu’au départ du Havre, avoir une place de choix dans un wagon de première se fait dans une douceur qui sied bien aux brumes matinales…. Là où ça se corse, c’est arrivé à Rouen…

A Rouen, c’est toujours la grosse pagaille pour les trains du matin. Les gens, bien réveillés (il est quand même une heure de plus que tout à l’heure !) partent à l’assaut des wagons et en première, c’est carrément l’émeute à chaque fois; c’est limite s’ils ne rentrent pas par les fenêtres en se faisant la courte échelle, ça fait penser à l’exode, les carrioles en moins: Tu parles, le nombre de places vacantes est limité (même avec les wagons à deux niveaux) et tout le monde en veut une, normal. Bref, chacun trouve finalement *presque* chaussure à son pied (certains sont partis en seconde trouver leur bonheur) et la cohabitation commence à prendre …. Ce jour là, fait rare (pour moi), nous sommes contrôlés 10 minutes après le départ de Rouen. Le contrôleur s’approche de la dame devant moi pour contrôler son billet, la dame, une petite quarantaine, n’a pas de billet mais un truc dans un porte carte, un peu comme les abonnés, mais c’est pas une carte d’abonnement, c’est mieux … C’est le truc qui tue bien tout le monde: Une carte de cheminot ! La dame est une épouse de cheminot …Elle possède le truc plus fort encore qu’un carré d’as: la carte magique-joker de la SNCF ! Limite si ELLE t’accepte dans SON wagon, quoi …

Le contrôleur lui fait aimablement remarquer:

– « que le wagon est plein et qu’il y a des gens, pardon, des clients, qui ont payé plein pot leur billet de première et qui se retrouvent en seconde. »

–  » qu’elle, elle n’a rien payé du tout et qu’elle est là … La moindre des choses, aux heures de pointe, c’est de voyager là où il y a de la place et de laisser les sièges de première aux clients payants … c’est d’ailleurs mentionné dans le réglement. »

Que croyez-vous qu’il se passa …? Le contrôleur a eu droit a une réflexion « m’emmerdez pas, j’ai le droit d’être ici. De toute manière, je bougerai pas ! ». Le contrôleur est parti, dépité et désabusé, ne croyant plus tout à l’indéfectible et légendaire solidarité cheminote. La bonne femme (et oui, maintenant, c’est plus une dame, c’est au mieux une bonne femme, au pire une conne …) a continué le voyage jusqu’à Paris en soutenant bien le regard de tous ceux qui désapprouvaient son comportement (moi j’étais derrière, j’ai pas eu droit à son regard mais j’observais, planqué, en me marrant un peu…).

J’en entends qui disent que, par galanterie, j’aurais du laisser ma place payée à la dame conne … et partir en seconde … Tu m’as regardé, là ?

Comme quoi, les avantages des cheminots, on fait bien d’en parler …

Fracture du métatarse et algodystrophie chez un sénior

Depuis plusieurs mois maintenant, je me remets petit à petit d’une fracture du 5ème métatarse. Un petit résumé de cette mésaventure qui me fait toujours un peu souffrir, 9 mois après.

L’accident

Depuis des mois, je fais mon jogging hebdomadaire. 10 km, toujours le même parcours sur le front de mer du Havre, endroit tellement propice à cette activité.

Ce matin, j’ai légèrement changé le réglage de mon lacet Xtenex sur la chaussure droite, depuis quelques sorties, je trouvais mon pied un peu trop serré en fin de parcours.

C’est bon, je suis dans le dernier kilomètre, à l’aise. Le petit-déjeuner n’est pas loin (je cours à jeun le matin), il est même au bout de cette ligne droite de presque 800 mètres.

Soudain, une douleur fulgurante au pied droit me stoppe en une fraction de seconde: Je me suis tordu le pied droit. Je n’ai pas regardé l’endroit exact où cela s’est produit (j’y retournerais quelques mois après, quelques petits reliefs au sol sont peut-être responsables, pas facile à déterminer. Est-ce que le nouveau réglage de mon lacet est également un peu responsable ?…Peut-être…).

Sur le coup, je pense que cela va passer, je m’assoie par terre et j’examine un peu mon pied: Rien de visible en baissant un peu la chaussette. La douleur ne passe pas et en me remettant debout, je boîte comme jamais …Les derniers 800 mètres pour revenir à la maison vont se faire en 30 minutes …triste record !

Je reste au repos le reste du samedi et je dégotte une vieille paire de béquilles pour aller travailler le lundi en me disant que cela me passera. Nous sommes le 20 octobre 2018.

Le lundi, un petit enfer pour conduire et aller au travail, le pied est toujours douloureux mais ne présente extérieurement aucun gonflement ni couleur étrange. Il pleut ce lundi 22/10 et cela n’a l’air de rien mais se déplacer au boulot en béquilles sur du carrelage mouillé n’est pas ce qui se fait de mieux en terme de sécurité. Je décide donc d’aller aux urgences le lundi soir pour voir ce qu’il en est de cette vive douleur qui ne passe pas …

Urgences des Ormeaux au Havre. Radio. Bilan : Fracture du 5ème métatarse au pied droit. Un truc fréquent. Le footballeur Neymar a eu la même chose au PSG. Sauf que Neymar a 30 ans de moins que moi et que chez lui, ça va se remettre plus vite. J’entends le chirurgien parler d’opération, on me demande quand j’ai mangé pour la dernière fois …trop rapproché pour une opération semble-il … Ouf ! On va me plâtrer 5 semaines.

Voyager avec un plâtre

Je me renseigne sur les possibilités de se déplacer en avion avec un plâtre. En effet, j’ai un voyage prévu en Californie 3 semaines plus tard. On me le déconseille vivement (phlébite, etc …). On verra ça en temps voulu.

Je suis quand même parti en Californie en fauteuil roulant et béquilles et renfort d’injections d’héparine jusque dans les salles d’embarquement des aéroports. Le séjour n’a pas été exactement celui que j’avais espéré mais au moins, nous avons pu fêter Thanksgiving !

Au bout de 5 semaines, le 26 novembre, on me fait un scanner avant de retirer le plâtre: La consolidation n’est toujours pas terminée. Le chirurgien retire quand même le plâtre et me lâche dans la nature avec une attelle sans un mot… Je ne peux toujours pas poser le pied par terre. Mon arrêt de travail est donc prolongé d’un mois par mon médecin traitant.

Le 12 décembre, nouveau scanner, il manque encore 1 mm pour que la consolidation se fasse. Je vais passer les fêtes en Australie, avec mon héparine, mon attelle et mes béquilles et mon fauteuil (ma femme et mes filles vont se relayer pour me pousser dans le fauteuil).

Le 10 janvier 2019, cela fait donc plus de 2 mois et demi que je n’ai plus posé le pied par terre, mon médecin traitant me prescrit une radio. Celle-ci montre un réel progrès dans la consolidation osseuse. Mon arrêt maladie est prolongé d’un mois, mon pied est toujours très gonflé et douloureux.

La rééducation

Le 14 janvier 2019, je vois un nouveau chirurgien (le précédent avait un problème de communication). Celui-ci estime que je peux commencer à poser le pied par terre, la radio du 10 janvier montrant une consolidation terminée.

Je pense que tout cela va bientôt se terminer … Que nenni ! Il m’annonce que mon pied n’a pas touché terre pendant 4 mois: La rééducation va être longue (plus d’un mois) et je risque de souffrir d’algodystrophie au pied droit pendant de long mois après la rééducation. la douleur aura disparu dans 90% des cas au bout de 18 mois !

J’apprends donc à mes dépends ce qu’est l’algodystrophie: « le syndrome douloureux d’une main ou d’un pied très souvent à la suite d’un traumatisme comme une fracture. Ces douleurs qui peuvent durer plusieurs mois s’accompagnent de troubles de la circulation sanguine et de problèmes osseux ». Et c’est bien ce qui me fait un souffrir depuis le mois de février 2019.

Je reviendrai sur cet article quand mon pied sera totalement guéri, enfin j’espère …

Freiner pour gagner ?

Ce post a 7 ans d’âge et me semble toujours (un peu) d’actualité…

Je ne suis pas contre les actions permettant d’aider la planète à s’en tirer … Je consomme comme tout le monde et j’ai aussi la même conscience que la majorité des gens que je connais: La planète j’y pense quand je peux et que cela ne représente pas un effort démesuré de ma part. Bref, je ne suis ni intégriste greenpeace (il en faut) , ni un gros gaspilleur (je trie, je co-voiture quand je peux, je marche pour les petits trajets et je ne fais pas couler l’eau pour rien quand je me lave les dents !).
Un constructeur de voitures (allemand) a eu la bonne idée d’aider la planète en récupérant l’énergie du freinage du véhicule …. Jusqu’ici, rien à dire … enfin presque … La réclame (la pub, quoi !) faite au sujet de ce système annonce: «Plus vous freinez, plus vous rechargez…». N’importe nawak ! Tu vas voir qu’il va y avoir des crétins qui vont rouler plus vite pour pouvoir plus freiner parce que c’est écolo !!! C’est sûr, il va y en avoir, j’en croise même tous les jours des gens comme ça !
Regardez, déjà, le monde roule trop vite, les conducteurs n’anticipent rien, vous collent au fesses et passent leur vie sur le frein … Mais bon sang, sauf imprévu, et dans la majorité des cas, si tu freines, c’est qu’avant tu roulais trop vite, non ? Si la vitesse est adaptée, si tu regardes les feux tricolores au loin, bref, si tu AN-TI-CI-PES, tu freines beaucoup moins. Moi, j’dis ça parce que je freine pas beaucoup (faut dire que j’ai une petite voiture qui roule pas très vite). J’ai même fait le désespoir de mon garagiste qui enrageait de ne pouvoir changer mes plaquettes car elles n’étaient jamais usées … Le pauvre garagiste, il est parti à la retraite sans jamais avoir eu à me les changer , même après 100000 km ! Lorsque j’ai pris mes leçons de conduite, j’avais une super monitrice. Son jeu favori était de compter le nombre de fois où j’avais appuyé sur la pédale de frein inutilement pendant le dernier quart d’heure de la leçon, le but était d’améliorer le score (comprenez à la baisse) la leçon suivante.
Bref, je trouve que l’on freine trop, pour rien … Alors des messages publicitaires à la con comme ça, merci, j’m’en passe !

Vos produits de toilette 3 fois moins chers … En Allemagne :-(

A l’heure où l’on entend de plus en plus que les grandes surfaces exercent des pressions infernales sur leurs fournisseurs, il est un scandale rarement évoqué mais néanmoins choquant.

De passage en Allemagne, je me promenais dans les rayons produits de toilette et de beauté d’un centre commercial. pour le Français non frontalier que je suis, une évidence saute aux yeux: Les prix sont beaucoup moins élevés qu’en France ! Ainsi, le même déodorant pour homme passe de 1,55€ TTC en Allemagne à 4,03 TTC en France … 160% d’augmentation juste pour traverser le Rhin ! Le prix français a été relevé dans une grande surface de l’hexagone juste à mon retour, c’st à dire 2 jours après avoir relevé le prix en Allemagne. une différence de TVA ne peut expliquer un tel écart, alors, qui s’en met plein les poches .

Et il suffit de se balader dans le rayon pour constater que quasiment tous les produits sont concernés (autre exemple: Le Piz-Buin est 100% plus cher). Seul le dentifrice Sensodyne semble jouer la parité.

A ma connaissance, cette énorme différence de prix est injustifiée et je n’en ai jamais entendu parler dans les médias pourtant à l’affût du moindre scandale…

Cet état de fait semble propre à la France: Nous sommes aussi bien plus chers que les USA ou l’Irlande pour ce type de produits.

Si vous avez une explication, je suis preneur. En attendant, n’hésitez pas à partager ce billet d’humeur car c’est la seule manière de faire cesser ce scandale. moi, je vais me renseigner sur le prix de la vaseline en attendant…