La galaxie Plex et *ARR

Un petit article rapide (et surtout un dessin) pour vous montrer comment j’ai totalement automatisé mon processus d’ajout de films et séries (pour moi et pour mes utilisateurs).

Le schéma se lit de bas en haut. Quelques explications à la suite…

Tout commence par Overseerr qui est le portail de demandes pour les films et les séries. Overseer peut récupérer automatiquement les users Plex et la connexion se fait avec le compte Plex de l’utilisateur, rien de plus simple.

On fait son marché ici. On peut préciser des tags (MULTI pour du multilangues), l’interface est très propre. Ca marche avec Docker. Overseer va orienter les requêtes vers Radarr ou Sonarr selon le type de demande (Film ou Série).

Radarr permet de récupérer les films demandés arrivant directement de Overseerr. Il est possible de demander aussi directement des films dans Radarr.

Sonarr quand à lui permet de récupérer les séries, les deux applications sont quasiment des clones.

Radarr et Sonar (qui fonctionnent très bien avec Docker) vont rechercher les torrents sur tout un tas de sites de torrents qui sont gérés par l’indexeur de sites de torrents Jackett (Docker). La magie de tout cela est que Radarr et Sonarr scrutent périodiquement (plusieurs fois par heure) toutes les nouvelles publications de torrents pour enclencher un téléchargement dès l’apparition d’un torrent correspondant à une recherche. De plus, si un nouveau torrent propose une version plus conforme à vos paramètres de recherche (spécifiques ou par défaut), par exemple du MULTI, du 4K ou un encodage plus performant, il va remplacer le média existant par le nouveau média.

Les sites que j’utilise configurés dans Jackett:

La mise à jour des url des sites est automatique. Il faut paramétrer les sections qui vous intéressent pour chaque site (des choix prédéfinis sont proposés).

Certains sites sont protégés par Cloudflare (par exemple yggtorrent). Il est nécessaire d’avoir un module permettant de challenger Cloudflare, pour cela j’ai ajouté FlareSolverr (Docker) qui permet de résoudre les challenges (gros conteneur Docker).

J’ai également ajouté le module Bazarr (Docker) qui récupère automatiquement les sous-titres sur différents sites (en effet, je regarde systématiquement en VO, films comme séries).

A signaler, je tiens à jour une liste sur TMDB des films passés en revue au « Masque et la plume« , les films de cette liste (publique) sont automatiquement importés lors de l’ajout de films dans la liste.

Maintenant que Radarr et Sonarr ont toutes les informations pour télécharger les torrents, il leur faut un client de téléchargement, j’utilise pour cela un client sous Docker qui permet de passer sous les radars de HADOPI, rdt-client, un client AllDebrid qui fonctionne sous Docker que je recommande et que je décris ici (lien de parrainage).

Le média téléchargé, Radarr et Sonarr se débrouillent très bien pour le placer au bon endroit pour que votre serveur Plex le détecte et l’ajoute automatiquement à sa bibliothèque. A signaler que Overseerr prévient par mail le demandeur que sa requête est exécutée.

Il reste à regarder le tout, pour cela, j’utilise une Apple TV avec le client Plex (et parfois Infuse Pro, ça dépend).

On peut rajouter 2 modules intéressants (mais pas indispensables) au dispositif:

Tautulli (Docker).

Tautulli permet de contrôler ce qu’il se passe sur le serveur à tout instant: Qui lit quoi, à partir de quoi et d’avoir des statistiques sur l’utilisation en général. Mais ce n’est pas le plus intéressant: Je l’utilise surtout pour générer une Newsletter hebdomadaire pour mes utilisateurs avec toutes les nouveautés de la semaine. La newsletter est automatiquement générée et envoyée.

Exemple de Newsletter générée par Tautulli:

Et pour terminer, le module qui est certainement le module le plus complexe à paramétrer: Plex Meta Manager (Docker).

Plex Meta Manager permet (entre autres choses) de créer des collections de médias en fonction de listes existantes sur différents site de critiques de films/séries. Ce module permet aussi de paramétrer la modification des affiches de films pour indiquer des éléments supplémentaires. Par exemple la définition media (FHD, 4K, SD) ou une information indiquant que vous allez supprimer prochainement le média en question (car oui, tout ça prend de la place !).

Voici un exemple d’affichage des collections de films qui m’intéressent. Ces collections sont gérées automatiquement. Vous pouvez créer aussi vos propres règles et avoir vos propres collections automatiques. Ainsi, on peut voir sur cette copie d’écran la collection « Le Masque et la Plume » qui provient directement de la liste que je tiens à jour sur TMDB. Un simple ajout sur TMDB dans cette liste met à jour (ou mettra à jour) la collection Plex dès que le films sera dispo quelque part…

Quelques exemples de personnalisation automatique d’affiches de film (tout est paramètrable).

Voilà, j’espère que cet article vous aura inspiré ! Si vous avez d’autres modules chouettes à ajouter, n’hésitez pas à me laisser un commentaire !

Wanted: Dead or alive (Au nom de la loi)

Je viens de terminer les 94 épisodes (3 saisons) de la série Au nom de la loi qui a enchanté mon enfance. J’avais 4 ou 5 ans quand je regardais les aventures de Josh Randall…
J’avais remarqué à l’époque qu’il y avait un grand poster de lui dans la baraque foraine de tir-pipes quand la foire s’installait proche de notre domicile, c’était toujours un plaisir de passer devant avec ma maman puis de retrouver Josh à la télé entre Flipper le dauphin et Skippy le kangourou.

Les épisodes font 25 minutes et sont en noir et blanc (la série a été diffusée à l’origine entre 1958 et 1961).

Les 3 saisons sont toutes assez différentes mais toutes mettent en valeur le jeune acteur qu’était Steve McQueen. C’est d’ailleurs « Au nom de la loi » qui va lancer sa carrière… La première saison est entièrement dédiée au personnage de Josh Randall dans son métier de chasseur de prime dans les années 1860-1870 dans l’ouest américain. La seconde saison, Josh Randall est accompagné d’un rookie dans le métier, ce qui donne un peu de variété aux histoires. La dernière saison est un retour au personnage de Randall seul mais ses missions changent: il vole plutôt au secours de la veuve et de l’orphelin. On y voit également moins de méchants et plus de jolies filles…

Josh Randall est toujours habillé avec des couleurs claires (c’est le gentil) et ne se sépare jamais de sa Winchester à canon et crosse sciés.

Bref, pas de quoi rivaliser avec les séries actuelles, c’est sûr … Mais pour moi, c’était une sorte d’hommage que je me devais de rendre à mon héros d’enfance !

Les débrideurs qui téléchargent (aussi) des torrents :-)

Peut-être vous un peu comme moi ? Cela vous arrive de temps d’avoir à télécharger du contenu (magazine, série ou même film) sur des sites qui vous proposent un téléchargement gratuit mais bridé ou un téléchargement illimité et rapide mais payant…
Quand je dis bridé, c’est souvent à la fois en nombre de téléchargements par 24h (parfois 1 seul) et avec un débit famélique …
Vous iriez bien de vos quelques euros par mois pour gagner du temps mais il se trouve que ces sites sont assez nombreux et que vos téléchargements vous amènent à télécharger sur plusieurs sites ce qui augmente d’autant la facture.

Il existe pourtant une solution qui sans vous faire payer plein pot chaque site de téléchargement, va vous permettre d’accéder à leurs offres premium (pas de limite, pas d’attente et vitesse maximum): Il s’agit des débrideurs.

Qu’est qu’un débrideur ?

Un débrideur est un site qui va exécuter pour vous le téléchargement du (des) fichier(s) convoités, moyennant un abonnement mensuel très modique. En effet, les concepteurs de débrideurs misent sur le fait que tout le monde ne télécharge pas en même temps sur ce genre de site… Ils achètent donc des accès premiums sur ces sites de téléchargement et en quelque sorte, ils vous louent cet accès pour que puissiez télécharger comme si vous y étiez abonné en personne. C’est malin car tout le monde y gagne …(ou presque).
Le débrideur vous fait payer 4 euros par mois (ou 9 euros pour 3 mois … C’est dégressif) et vous donne l’accès à des dizaines de sites de téléchargement en premium. Vous en profitez au lieu de payer un accès premium à plein de sites différents, ce que dans les faits, vous ne feriez jamais (car bien trop cher !).
Dans la pratique, vous indiquez au débrideur le lien qui vous intéresse et celui-ci vous retourne un autre lien de téléchargement vers une connexion premium non bridée: Finis les téléchargements interminables, les temps d’attente, etc …
La manipulation sur le site du débrideur est très rapide, moins de 2 secondes … un copier-coller…

Mon débrideur (qui fait en plus les torrents)

Depuis maintenant 6 mois, je suis chez alldebrid.fr (lien de parrainage) qui propose les hébergeurs suivants (liste mise à jour assez souvent):

On voit que tous les ténors des plateformes de téléchargement (et de streaming) sont répertoriés. Et tout cela est accessible pour presque rien…
Pour ma part, il ne manque qu’un seul site sur lequel je voudrais pouvoir télécharger en débridé, c’est Novafile.com… Pour le reste, c’est du sans faute.
Le service n’est jamais tombé en panne ces 6 derniers mois (à ma connaissance) et il n’y a pas de temps d’attente.

Cerise sur le gateau, ALLDebrid permet également de télécharger des torrents sans vous imposer de quota: Il télécharge à votre place le torrent que vous lui indiquez et vous fourni un lien de téléchargement direct pour récupérer le fichier 🙂 . Cela marche aussi bien pour les trackers publics que privés (dans ce dernier cas, vous fournissez un fichier torrent personnalisé mais cela n’impacte pas sur votre quota de téléchargement). dans la plupart des cas, le torrent est déjà disponible sur AllDebrid car déjà demandé par un autre client.

Pour ma part, j’utilise beaucoup le mode torrent de AllDebrid. Il existe même un client de téléchargement que vous pouvez intégrer à Sonarr et Radarr (au standard Qtorrent): RDTclient (image docker compatible avec Synology). Tout est ici : https://github.com/rogerfar/rdt-client. Ce client fonctionne évidemment très bien en dehors de ces deux applications pré-citées.

Où faire son marché ?

Il y a pléthore de sites qui vous proposent des liens vers des films, des séries, des magazines, des BD. Il y en a pour tous les goûts et toutes les qualités (HD, 3D, 4K, etc). Tous ces liens peuvent être débridés avec un débrideur.
Pour vous faire une idée, en voici une (petite) poignée:

Vous allez me dire… Quand j’accède à ces sites, je vois effectivement plein de choses alléchantes à télécharger mais bonjour la publicité … Je vous renvoie alors à mon article sur le Pi-Hole qui justement va mettre toute cette pub à la poubelle avant même qu’elle arrive chez vous !

Alldebrid vous permet également de télécharger les vidéos des sites de streaming dont voici la liste:

API pour Synology et sites de streaming

Si vous voulez pousser encore plus loin l’automatisation de cette récupération de contenu, Alldebrid.fr (lien de parrainage) propose une API qui vous permet de télécharger à partir de votre client de téléchargement préféré (en gros, vous pouvez enquiller les liens à télécharger dans une file d’attente et votre programme de téléchargement s’occupe de tout).
Le débrideur permet même la conversion de magnets et torrent et effectue le téléchargement du torrent pour vous si vous le souhaitez !
Je suis ravi car l’API proposée par Alldebrid est compatible avec Chrome, Firefox, et surtout … Synology (entre autres).

Conclusion

Alldebrid est une chouette plateforme qui m’a fait gagner un temps fou depuis 6 mois que je l’ai adoptée.
Pour ma part, je renouvelle mon abonnement tous les 3 mois (la reconduction n’est pas tacite et c’est très bien comme ça !). Ainsi, si le débrideur met la clé sous la porte, je ne perd que 8,99 € (au maximum).

Si je vous ai convaincu et que vous désirez sauter le pas, n’hésitez pas à cliquer sur un des liens de parrainage présents dans cet article, ça rajoute (un peu) de temps d’abonnement au parrain 🙂

reddit r/LeHavre

reddit, qu’est ce que c’est ?

reddit se définit lui-même très modestement « le portail de l’internet »… En fait, il s’git principalement d’un forum (reddit) constitué de sous-forums thématiques (subreddit). D’après

Comment ça marche ?

Tout le monde peut s’inscrire sur reddit, il suffit d’une adresse email. La plupart des sous-forums sont accessibles sans modération, c’est à dire que vous pouvez vous « abonner » à un subreddit sans avoir reçu d’autorisation ou sans faire de demande préalable. Dans un subreddit, vous pouvez lire toutes les contributions (texte, photo, vidéo), tous les avis, toutes les questions (et les réponses) posées par les gens abonnés au subreddit.
Les contributions les plus populaires sont mises en avant dans le subreddit (la popularité est « votée » par les abonnés).
reddit est disponible sur votre navigateur web mais aussi sous forme d’application pour appareils mobiles.

Quels sont les thèmes des sub-reddit ?

Alors là, je crois qu’il existe des subreddit pour tous les sujets, toutes les passions et tous les « vices »: Des problèmes sociaux à la réalité virtuelle en passant par l’aviation et le sexe ! La langue utilisée est principalement l’anglais mais des subreddit particuliers peuvent avoir leur langue à eux … Pour le subreddit r/LeHavre, le français est la langue principale. Car oui, personne ne vous a attendu, le subreddit pour Le Havre existe depuis 5 ans ! Il existe également un subreddit r/Normandie

Je ne trouve pas le subreddit sur un sujet particulier !

Au cas où vous ne trouveriez pas votre bonheur dans les subreddits existants, vous pouvez toujours créer le votre. Pour cela, il vous suffit d’avoir plus de 30 jours d’ancienneté et d’avoir montré un peu de bienveillance lors de vos participations dans les subreddits auxquels vous êtes abonné. En effet, une composante non négligeable de reddit est la bienveillance et vous obtenez des points de « karma » qui vous permettent une certaine reconnaissance et vous ouvrent des possibilités.

En conclusion

reddit est un formidable outil. Je m’en sers principalement pour rechercher et apporter des réponses sur des sujets « techniques » (restons modeste !) mais je suis abonné aux subreddit concernant Le Havre et sa région. L’interface est un peu déroutante de prime abord mais on s’y fait très vite et même … on devient vite accro (c’est mon cas depuis plus de 3 ans) !
N’hésitez pas à participer, venez me rejoindre, cela ne coûte rien !

Euphoria: A fuckin’ TV show !

Encore une série, américaine en plus… Disons qu’avant de céder à la tentation « d’investir » du temps dans une série US, je prends mes renseignements…

Celle-ci semble bien née: C’est un remake d’une série israëlienne introuvable (snif) mais qui semble avoir eu un beau succès sur la chaîne HOT en 2012. Euphoria est produite par HBO (ce qui est plutôt un signe de qualité). Pour terminer le tout, elle est recommandée par des gens que j’aime bien qui ont plus de 40 ans…

Malgré tout, cette série n’en reste pas moins une teen série, ce qui risque d’en rebuter plus d’un(e). Ce serait dommage. Elle est tout d’abord extrêmement bien léchée au niveau de l’image et du montage (un peu le genre « Requiem for a dream »). Elle est servie par une musique qui n’est pas vraiment ma tasse de thé mais qui reste très efficace. Mais le meilleur n’est pas là …

Nous assistons au cours des 8 épisodes de la saison 1 (une deuxième saison est prévue) aux tourments d’adolescents de 15 à 20 ans (et aussi de leurs parents). Toutes les noirceurs de l’âme sont explorées: Drogue, sexe, genre, traumatismes, chantages, importance des réseaux sociaux, influence des parents… L’intrigue est multiple (j’aime bien mettre cette expression au singulier) et concerne principalement les filles, les histoires parallèles se croisent, parfois en flashback… Pas toujours évident à suivre: Ce n’est pas une série que l’on regarde du coin de l’oeil (d’autant plus qu’en VO, sans les sous-titres, on est vite fuckin’ lost !). La série réserve aussi quelques rebondissements assez surprenants et bienvenus.

Déconseillée au moins de 16 ans, je pense que c’est plus que parfaitement justifié (et encore, moi, à 16 ans, j’étais vraiment fuckin’ loin de ça). Pour ceux qui regarderont la série (en VO), vous comprendrez vite pourquoi je mets des fuckin’ partout dans le texte…

Un petit trailer officiel pour vous faire une idée…mais attention, je le trouve très peu représentatif de l’atmosphère souvent glauque de la série !

Certains me diront: « Mais c’est Zendaya ! » … Peut-être, elle semble fuckin’ famous mais moi, c’est la première fois que j’entends ce nom …

De la cassette audio à l’iPhone

C’est allongé dans une chaise longue, sur le balcon, les AirPods (pro !) vissés dans les oreilles que des bouffées de nostalgie me reviennent parfois. T’as remarqué comme la musique est propice à faire remonter des souvenirs enfouis au plus profond de ton bac à sable perso ? Et là, j’écoute les Beatles, l’album « Help ! », une vieille connaissance… Bien avant de sombrer dans les univers de Louis-Ferdinand Thiéfaine et d’Hubert-Felix Céline d’une adolescence enfumée, je découvrais les Beatles. J’avais neuf ans. J’étais en CM2. C’était presque hier… Mes parents (mais j’imagine que c’est plutôt sur l’impulsion de mon Papa) avaient acheté un magnétophone à K7 Philips.

Un petit machin dans une sacoche en skaï, pas stéréo (à l’époque, de toute façon, la stéréo, j’ignorais ce que c’était, je l’ai découvert 2 ans plus tard), pas auto-reverse, un truc avec un micro externe. Je me souviens du premier soir à la maison: Pouvoir écouter sa voix provenant d’un appareil, c’était un peu magique. Nous étions, mon frère et moi comme deux petits kenyans à qui l’on montre la photo numérique que l’on vient de prendre. De mémoire, mon Papa avait acheté deux K7 enregistrées: « Help ! » et un best of de Jean Claude Borelly (celui qui jouait Dolannes Melodie, gros succès de l’époque). La K7 des Beatles, je crois que je l’ai usée… Je ne comprenais rien à l’anglais, les paroles n’étaient écrites nulle part mais c’était la première fois que je pouvais écouter des chansons comme je voulais (ou presque, il fallait quand même rembobiner la K7 pour re-écouter, et ça, c’était super long…).

Toujours est-il que ce magnéto , il a fait du chemin. Mon Papa avait installé un système permettant de le brancher sur un haut parleur dans la GS familiale (une Citroën, une vraie de l’époque où l’on pouvait changer ses ampoules de phares sans envoyer chier la terre entière). Ainsi, nous sommes partis visiter une bonne partie de l’Europe (jusqu’en Cappadoce, en Turquie: A quatre dans la voiture, en camping et sans galerie, un authentique exploit … Avec le recul, je me demande si mes parents n’étaient pas un peu fous !). Avec quatre ou cinq K7 dans la voiture, nous étions loin d’Apple Musique ou de Spotify qui « offrent » le streaming sans lequel je me sens tout nu ! Et dans tous ces morceaux, je te le donne en mille, « Help ! », que je connais à un point que je pense qu’il est associé à mon ADN. Il est loin le temps de la K7 audio… Je ne regrette rien, en plus de 45 ans, la technologie a évolué d’une manière foudroyante et plutôt dans le bon sens… Non, ce que je regrette, finalement, c’est que c’est presque trop facile maintenant ….

Ce texte est dédié à mes Parents ♡

Ombi : Industrialiser la vidéo à la demande sur PLEX

J’ai découvert il y a peu Ombi, logiciel gratuit (donation) qui fonctionne avec Plex. Ombi permet de constituer une base de souhaits pour votre contenu Plex. Ainsi, si comme moi vous partagez votre Plex avec des amis ou de la famille, si un contenu n’est pas disponible sur votre Plex, il est possible de le demander par l’intermédiaire d’Ombi.

Présentation

Chez moi, Ombi tourne sur le Synology dans un conteneur Docker. L’image Docker porte le nom de linuxserver-ombi. Pour installer une image dans Docker sur Synology, je vous invite à consulter cet article. Ombi va se connecter à votre serveur Plex et offrir une belle interface à vos utilisateurs.

Interface de recherche de Ombi

Cette interface permet à l’utilisateur de rechercher un contenu, film ou série. Vous devez lui avoir créé un compte et avoir ouvert le bon port de communication sur votre box/routeur. Il est cependant possible de se connecter avec son compte Plex (si Plex OAuth est activé). Cette recherche va s’effectuer de manière transparente sur le site The movie database (base de données de films et séries). Par défaut, l’interface propose des films et séries populaires sur Ombi (les titres les plus recherchés).

On peut voir sur la copie d’écran précédente que Ad Astra est proposé. Sa date de sortie en numérique est indiquée (important !). On voit aussi la balise « Non demandé » qui indique que le fichier n’a pas été demandé par le biais d’Ombi sur ce serveur Plex. Il est possible pour l’utilisateur de « Demander » le fichier à l’administrateur du Plex.

Dans le cas où un fichier est déjà présent, Ombi l’indique de cette manière:

Ombi est déjà présent sur le serveur et ne peut être demandé ! (statut Disponible)

A signaler qu’Ombi ne va s’assurer de la présence ou non du contenu que sur le serveur Plex sur lequel il est connecté. Ainsi, si vous avez accès à d’autres serveurs amis à partir de votre Plex, Ombi ne trouvera pas ces contenus….

La demande de contenu par un utilisateur

Lorsqu’un utilisateur clique sur le bouton « Demander » d’un contenu qu’il a recherché sur Ombi, le statut du contenu passe à « Demandé ». Ainsi, un autre utilisateur sait qu’une demande de mise en ligne de ce contenu est en cours et qu’il n’est plus utile de le demander s’il comptait le faire..

Ombi – Contenu demandé

Un mail est envoyé automatiquement à l’administrateur du serveur Plex pour lui indiquer les références du film (ou de la série) demandée (et qui la demande). L’administrateur peut valider ou non la demande (en général, il la valide …). Il ne lui reste plus qu’à se mettre en chasse du fichier numérique correspondant. Une fois celui-ci mis en ligne sur le serveur Plex, Ombi le détecte tout seul et le statut de la demande est modifié.

Ombi, le contenu est disponible !

L’utilisateur demandeur est prévenu par mail que sa demande est exaucée et que le contenu peut maintenant être visionné sur le serveur Plex.

Petite cerise sur le gateau: Vous pouvez définir une petite newsletter (facultatif) qui indique aux utilisateurs de votre choix les différentes nouveautés de la semaine disponibles sur votre serveur Plex. Ceux-ci recevront un petit mail bien léché listant le nouveau contenu dans la limite de leurs accès sur les bibliothèques de votre serveur !

Il est possible d’interfacer Ombi avec Sonarr (pour le téléchargement automatique des séries) et avec CouchPotato (pour les films). Ainsi, les « administrateurs » paresseux n’ont même plus besoin de lever le petit doigt pour alimenter leur Plex !

Conclusion

Un petit soft pas gourmand très pratique. Plutôt que de recevoir un mail de vos utilisateurs (amis, famille) avec parfois des titres inexacts ou bien des films avec plusieurs remake et le même titre. Là, plus d’ambiguïté ! Vous avez le titre et l’année, tout ce qui va bien. Le système d’avertissement par mail est très bien fait et paramètrable. J’ai donné des accès à tous mes utilisateurs. Plex devrait s’inspirer de ce petit soft pour intégrer une fonctionnalité identique.

Le tour de la France par deux enfants (1957)

Une bonne surprise que cette très ancienne série française. D’accord, un peu vieillotte (1957), en noir et blanc et format 4/3 mais bon, c’est l’époque.

Cette série compte 39 épisodes. Le premier nous présente deux enfants (15 et 7 ans) arrivant au Havre en 1956 en provenance du Canada. Ils ne sont pas accompagnés et doivent retrouver un membre de leur famille au départ du Havre…

Une voix off omniprésente et quelques dialogues post-synchronisés, en matière de jeu d’acteur, c’est très limité. Mais ce n’est pas là qu’est le charme de cette série. Une vision du Havre juste après la reconstruction. Une ville qui n’a pas beaucoup changé depuis (dans son hypercentre Perret).

Bien sûr, quelques moeurs de l’époque en matière de sécurité routière, de non-prévention du tabagisme et d’uniforme de police…

Une leçon de morale bien 1950 pour chaque épisode (mais je ne suis pas contre le retour de la morale à l’école…)

Tout le charme d’une époque (que je n’ai pas connue !).

J’ai participé à un Hackathon !

Début décembre 2017, j’ai participé au hackathon organisé par Caux Seine Agglo ayant pour thème « l’économie circulaire » (vous trouverez plus d’info sur ce hackathon ici)

Présentation

Un hackathon, c’est un challenge qui dure 24h. Il rassemble des profils variés qui doivent à l’issue du concours proposer un projet consacré au thème (ici, le thème c’est l’économie circulaire).

Le hackathon commence le vendredi à 18h00 et se termine le samedi, à la même heure. Vous noterez donc qu’il commence à l‘issue d’une journée de travail mais que vous avez tout le dimanche pour vous remettre, ça compense. Ce hackathon regroupait 3 catégories de personnes :

Les porteurs de projets : Ce sont des gens qui viennent avec une idée de projet en tête. En général, ils ont déjà eu des contacts avec les organisateurs du hackathon. Ces contacts permettent d’éviter d’avoir des projets trop proches en regroupant des porteurs de projets similaires sous un seul et même projet.

Les mentors : Il s’agit de professionnels chargés de renseigner et guider les équipes dans leur cheminement. Ils ont une bonne connaissance du tissu économique local.

Les « riens du tout » : C’est la catégorie dont je fais partie. Elle regroupe les personnes qui n’appartiennent pas aux catégories précédentes mais qui possèdent certains talents (pro ou non) pour faire avancer le projet pendant ces 24h. Ils sont en général développeurs, communicants, marketeurs, designers… Toutes les bonnes volontés pouvaient participer.

Le jour J

L’inscription au hackathon était gratuite et nous nous sommes retrouvés à environ 80 personnes (porteurs de projets et participants) ce vendredi soir vers 17h00 au sein du magnifique site de l’abbaye de Gruchet-Le-Valasse. La soirée a commencé avec quelques discours de bienvenue sous la houlette d’un « chauffeur » de salle féru de hackhathon et de ice-breaking : Lorenzo Croati (@LorenzoCroati). Ce dernier nous a dispensé ses conseils très utiles sur la façon d’organiser notre temps au cours de ces 24 heures. Lorenzo a aussi bien insisté sur le fait que tous les membres de l’équipe devaient être écoutés et qu’il ne fallait pas partir bille en tête sur la seule idée du projet vue par son porteur …

Je prends la parole pendant l'ice breaking
Je prends la parole pendant l’ice breaking. (photo empruntée à Cédric Grenet)

Officiellement, le hackathon a débuté à 17h45 et les porteurs de projet ont présenté leur idée sur scène pendant quelques minutes. A l’issue de ces présentations, la salle a été conviée à voter pour ses projets préférés en apposant des gommettes sur des grands cartons chargés de représenter les projets. Une dizaine de projets ont donc survécu (de mémoire,je crois que 2 ou 3 projets ont été éliminés).

A l’issue de ce vote, il y a eu un souk infernal pour la constitution des équipes ! En effet, il a fallu constituer des équipes de 7 personnes maximum avec les contraintes suivantes :

  • Pas plus de 3 développeurs par équipe
  • Certaines personnes ne voulaient pas se séparer
  • Les projets les plus intéressants attiraient plus de monde et il a fallu user de diplomatie pour refuser du monde sans vexer…

Une fois les tractations terminées dans un grand brouhaha, nous avons été installés dans les salles de travail de l’abbaye. Certaines équipes avaient leur salle à eux et d’autres partageaient de grands espaces (nous étions 3 équipes dans une grande pièce). Les décors de l’abbaye sont vraiment superbes et le cadre était vraiment idéal. Chaque espace de travail était pourvu en prises électriques (mais pas assez cependant) et un accès internet par wifi était disponible (même s’il a connu quelques hoquets dans les premières heures). Je tiens d’ailleurs à signaler que le réception 4G de Bouygues dans les environs de l’abbaye est déplorable…

Tout était pris en charge par les organisateurs au niveau des repas et ceux-ci se sont déroulés dans la magnifique salle de restauration voûtée de l’abbaye. Toutes les équipes ont pris leurs repas ensemble, c’est plus pratique au niveau logistique (plats chauds). Les grandes tables rondes ont permis à chaque équipe de se retrouver et discuter dans un environnement autre que celui des salles de travail. Je remercie les organisateurs pour le déroulement sans faille de cette manifestation.

Le repas !
Le repas !

Le projet et le déroulement

Nous avons donc travaillé toute la soirée sur notre projet et aussi toute la nuit (et puis aussi toute la journée du samedi … si vous avez bien suivi !). Pour ma part, je n’ai pas fermé l’œil pendant toute la durée du hackathon. D’autres se sont accordés de petits sommes réparateurs. Il faut bien comprendre que le hackathon est une « course de fond » qui se termine en apothéose par le pitch : 3mn pour présenter le projet et le travail accompli pendant ces 24 heures. Si vous êtes le pitcheur de l’équipe, vous avez tout intérêt à garder les idées claires et vous accorder un peu de repos quand même !

De la bonne humeur, de la concentration, de la diplomatie…Faire tourner pendant 24 heures une équipe fraîchement créée avec des profils (et mêmes des générations !) différents n’est pas trivial mais avec un peu de bienveillance, ça tourne sans problème malgré la fatigue. Notre projet a bien avancé, la maquette était convaincante, notre projet, SynR, qui se voulait au début le « tinder du déchet » a évolué vers une plateforme de mise en relation d’entités pour le recyclage de biens et la mutualisation de services. A 16h00 le samedi, nous avons cessé de travailler sur le projet et sa présentation. Les pitchs ont commencé à 16h30.

Le pitch et les résultats

C’est un moment très spécial : Vous avez 3 minutes pour présenter le projet sous la forme que vous voulez (toute l’équipe peut même se retrouver sur scène pour la présentation). La seule chose qui est incontournable c’est le chrono… Le pitch dure au maximum 3 minutes et le décompte des secondes est affiché en permanence. Au bout de 3mn, tout le monde applaudit et si le pitcheur par malheur n’a pas terminé de pitcher, son discours est noyé dans les applaudissements et il est contraint d’arrêter. Croyez-moi, nous n’avons pas laissé une seconde supplémentaire aux équipes concurrentes qui n’avaient pas terminé en temps leur pitch. Par chance et par calcul, notre pitch était bien calé au niveau timing et nous n’avons pas eu à le terminer dans le bruit des applaudissements !   Le jury est constitué d’une dizaine de professionnels locaux. Ce jury va évaluer chaque projet, son intérêt, son originalité, sa viabilité. Après délibération, les résultats sont annoncés dans la foulée. C’est donc vers 18h00 que le suspens a pris fin … Au vu des pitchs des autres équipes, nous savions que nous avions un bon projet servi par un excellent pitch et une maquette convaincante …Et bingo … Nous avons remporté le prix coup de cœur de l’agglo (qui correspond un peu au premier prix). Chaque membre de l’équipe s’est vu offrir un ipad ainsi que la possibilité de poursuivre l’aventure en développant le projet tout en étant accompagné par des professionnels de Caux Seine Développement.

L'équipe
L’équipe « coup de coeur » dont je fais partie !

Conclusion

Ma première participation à un hackathon a vraiment été une source de découvertes et de plaisir que je ne soupçonnais pas. Les rencontres à 3 heures du matin avec des passionnés ne sont vraiment pas les mêmes qu’en milieu de journée dans le cadre d’un job ! Le mélange des générations (et oui, j’étais sûrement parmi les plus vieux !) et des compétences en a fait un moment très riche que je ne peux que vous recommander : c’est à vivre au moins une fois dans sa vie. Pour ma part, je suis impatient de recommencer !

La vidéo résumant l’événement est visible ici :

Les Podcasts à écouter de toute urgence !

Peut-être ne connaissez-vous pas le monde du podcast … je vais vous éclairer sur ce sujet. Un podcast, c’est un billet enregistré qui peut être écouté au lieu d’être lu. Imaginez que le post que vous lisez actuellement soit en fait un enregistrement sonore que vous pouvez écouter sur votre Smartphone ou par n’importe quel autre device numérique, chez vous ou en voiture, bref,  partout où vous pouvez écouter de la musique. Un bémol cependant, l’écoute d’un podcast nécessite un peu plus d’attention qu’un fond sonore musical…

Aux podcasts originels sont venues s’ajouter une sorte de podcast qui n’en est pas vraiment: Le replay des émissions de radio. En effet, beaucoup de stations de radio proposent leurs émissions en replay dans les annuaires de podcasts. Pour moi, ce n’est pas vraiment du podcasting car à l’origine, le contenu n’a pas été créé spécifiquement pour une écoute « podcastique » mais pour la radio… Je ne suis pas raciste, j’écoute aussi ce style de replay (mais ils ne sont pas majoritaires dans mes playlists).

En parlant de playlists, voici les podcasts que j’écoute sans faillir. Comme j’ai parfois découvert ces podcasts sur le tard, j’ai souvent voulu me rattraper en me faisant des marathons d’écoute de podcasts avec les épisodes précédemment diffusés alors que j’en ignorais l’existence (souvent plusieurs dizaines d’épisodes en retard). L’écoute d’un podcast génère très souvent l’envie d’écouter d’autres podcasts qui sont mentionnés … Une sorte de surf sur les podcasts (sauf que l’écoute d’un podcast prend généralement plus de temps que la simple consultation d’une page web).

Ma playlist comporte deux types de podcasts: Ceux dont le contenu est pérenne et qui ne sont pas basés sur une actualité « trop » chaude. C’est le cas des podcasts de lifehacking (par exemple). L’autre est plutôt basée sur l’actualité (tech ou culturelle) et perd parfois un peu de saveur quand vous avez le malheur de l’écouter trop en retard (mais je connais un épisode de Tech café qui vous renvoie quelques 20 ans en arrière particulièrement savoureux !).

Culture

Le masque et la plume est l’émission culte de France Inter disponible en podcast (comprendre ici « en replay »). Livres, films et plus rarement théâtre, toutes les sorties marquantes de la semaine sont décortiquées par des critiques savoureux. Un podcast « bon enfant » qui n’est pas un « vrai » podcast mais bon, je lui pardonne ! Le problème avec ce podcast c’est qu’il vous donne très souvent l’envie de lire la plupart des livres critiqués et que cela est assez frustrant de ne pouvoir le faire !

 

 

 

Positron est un podcast de la (petite) galaxie FrenchSpin (dont le grand manitou est Patrick Beja, le seul podcaster professionnel français). positron propose 3 sujets tous les 15 jours (série, jeu vidéo, film). L’animateur est excellent et ses comparses souvent aussi brillants.

 

 

 

LifeHacking

L’éclectique Show est un podcast québécois réalisé par Mat (alias @ProfDuWeb). Tech mais aussi lifehacking, Chaque épisode est une bonne surprise ! En plus de cela, l’ami Mat est normand d’origine (mais cela ne s’entend pas à son accent !). Ce n’est pas le seul podcast ou sévit Mat, j’en reparlerai plus loin…

 

 

 

La voix de Guillaume est un podcast « tranche de vie » de la famille des streetcasts (une sorte de podcast avec un préparation plus légère, souvent enregistré en mobilité, en voiture ou en balade). On pourrait aussi parler d’une « petite » galaxie pour tous les podcasts où Guillaume sévit.

 

 

 

M streetcast par Mat alias @profduweb est le streetcast de Mat, déjà cité pour l’Eclectique Show. Il s’agit d’un billet d’humeur de Mat, billet non régulier.

 

 

 

 

Relife, le podcast est un podcast dont le maître d’orchestre est Guillaume Vendé (cité plus haut) en compagnie de Mat et généralement de 1 ou 2 chroniqueurs supplémentaire. Ce podcast parle de LifeHacking.

 

 

 

Photo

Objectif Numérique est un podcast québécois sur la photo amateur. Les 3 animateurs sont très sympathiques et ne se la pètent pas. Leur accent est adorable !

 

 

 

 

Techno

Appload, de la galaxie FrenchSpin. Je le mentionne malgré son arrêt (ou sa transformation, cela reste à voir) à la fin 2017. Vous pouvez toujours écouter les épisodes précédents. A chaque épisode, 3 applications pour smartphone sont décrites par Patrick Beja et ses chroniqueurs (dont fait souvent partie Jérôme Keinborg ). Un contenu malheureusement périssable au vu de la volatilité des applications pour smartphone.

 

 

 

Appstories, en langue anglaise.Parle d’application pour smartphone dans un sens plus général (par type d’application, par marché). Le podcast étudie aussi les applications sur des aspects psychologiques (ex : Qu’est-ce qui rend une app addict ?).

 

 

 

 

De quoi j’me mail ? est hebdomadaire et se compose de deux parties: La première évoque un dossier tech d’actualité et la deuxième fait la part belle avec des tests de produits tech.

 

 

 

 

Le rendez-vous tech de la galaxie Frenchspin animé par Patrick Beja traite tous les 15 jours de l’actualité tech. Un contenu périssable à écouter dès sa sortie (ou presque !).

 

 

 

 

Niptech: Tech & Startups porte bien son nom. La tech, ses impacts, ses problématiques, ses rachats en très géants. Ben & Mike sont deux animateurs attachants et dont l’analyse et le questionnement sont très pertinents. A retrouver environ une fois par mois.

 

 

 

Tech Café: talk-show sur la tech et ses usages. Podcast très prolixe encore animé par Guillaume Vendé. Il y a deux types d’émissions. Une purement tech généraliste et une autre appelée « la chronique des composants », animée conjointement avec Guillaume Poggiaspalla, un puits de savoir et de connaissances qui approfondit et vulgarise des sujets compliqués d’une manière assez admirable (bien qu’un peu parfois extrémiste et radical sur ces points de vue).

 

 

 

Votre coach web, dernier podcast de cette liste et découvert assez récemment est une émission utile à toutes les personnes cherchant à améliorer leur visibilité sur le web. Axée blogs, réseaux sociaux mais aussi rapports humains, elle est dynamique et attachante. Bertrand sait manifestement de quoi il parle !

 

 

 

Voilà, j’espère que cette petite liste vous aura donné envie de découvrir le podcast si vous ne connaissiez pas ce média. Si vous êtes déjà amateur de podcasts, vous deviez déjà connaitre une bonne partie des podcasts cités. N’hésitez à m’indiquer d’autres pépites dans les commentaires de cet article. Je reviendrai parfois sur les podcasts en parlant d’émissions marquantes ou bien de nouveaux podcasts découverts au fil de l’eau. Pour ma part, j’envisage de ma lancer dans l’aventure très bientôt !