The marvelous Mrs Maisel (Amazon Prime) – Une série très attachante !

J’ai découvert très récemment cette superbe série sur Amazon prime Video (merci @NotPatrick). Le pitch est assez simple: Une housewife bourgeoise (et juive, c’est important) de New York qui se découvre par hasard des talents comiques de One Woman Show dans le New York City de la fin des années 50 alors que son mari la quitte. (Je pense que j’ai assez bien résumé en une phrase !). Les sautes d’humour et de “one woman show” de Mrs Maisel interviennent lors de situations clés: Soit elle est ivre, soit bouleversée ou énervée ou bien tout simplement elle vient de tirer quelques bouffées de marijuana. Pour le moment (je n’ai vu que les 3 premiers épisodes), ses représentations, toujours impromptues, se terminent souvent au poste de police… En 1958 aux US, on ne peut pas tout dire et on ne peut pas non plus montrer ses seins dans un cabaret (jolie poitrine au demeurant).

L’humour est partout présent (pas mal d’humour juif, j’adore !), les acteurs sont superbes (surtout l’actrice principale Rachel Brosnahan) et le tout est très finement joué avec des dialogues très imagés (en VO en tout cas, c’est un délice !). Attention quand même, cette série ne convient pas aux enfants (alors que son titre pourrait faire penser que c’est justement destiné aux enfants…)

La série est toute récente (novembre 2017). Elle comprend une première saison de 8 épisodes (tous sortis), j’espère qu’il y aura une saison 2.

Le trailer est ici:

Ubooquity, Plex mais pour les livres et BD !

J’ai découvert il y a un an et demi cette perle qu’est le logiciel Ubooquity ! Je l’utilise sur mon Synology mais Ubooquity peut être utilisé sur n’importe quoi: un PC, un Mac, un RaspBerry. Il existe même des containers Docker tout faits et qui fonctionnent très bien ! Mais d’abord, Ubooquity, c’est quoi ?

Imaginez un Plex pour les livres et PDF et vous aurez une petite idée de ce que peut être Ubooquity. Ubooquity présente dans une belle interface web l’ensemble de votre bibliothèque, qu’il s’agisse de PDF, CBR,epub,mobi, etc…

Le site officiel de Ubooquity est ici. Le logiciel est gratuit. J’ai indexé avec Ubooquity mes 10716 bandes dessinées (réparties dans des répertoires, un répertoire par collection) et mes 17806 epub, mobi et PDF. La différence entre Plex et Ubooquity, c’est que Ubooquity ne gère pas de métadata et ne va pas retrouver les informations concernant chaque BD, epub ou PDF. Ubooquity se “contente” de les présenter, d’offrir un accès aux utilisateurs que vous créez, d’offrir la consultation et/ou le téléchargement en local ou à distance des documents.

Les écrans

Voici un exemple de page Ubooquity pour les BD. Chaque Couverture représente une collection. En haut à droite de la couverture s’affiche le nombre de BD dans la collection. La partie supérieure de l’écran permet de naviguer entre les pages ou de rechercher dans les titres. Les BD peuvent être au format PDF ou CBZ/CBZ.

Pour les magazines, l’affichage est identique:

Lors de la sélection d’un document, le choix proposé est soit la lecture en ligne (par un lecteur web très bien fait) ou bien le téléchargement:

Le petit picto en bas à droite de la fenêtre mêne à un lecteur web avec pas mal d’options pour la lecture online:

Vous pouvez demander à Ubooquity de scruter votre librairie Calibre si vous en avez une. Ubooquity ne va pas attaquer la base de données Calibre mais va parcourir l’arborescence et intégrer les fichiers de métadonnées créés par calibre de façon à, pourvoir présenter des informations intéressantes avant le download ou la lecture online (pas de lecture online avec les mobi. c’est possible uniquement avec les epub. Il est même possible d’accéder à votre serveur Ubooquity à partir de votre liseuse pour y télécharger directement le fichier epub (kobo) ou mobi (Kindle).

L’administration

L’interface administrateur n’est certes pas la plus sexy du moment. vous pouvez créer autant d’utilisateurs que vous le souhaitez et leur attribuer des droits sur les différentes sections de votre bibliothèque. Si vous laissez tourner la machine sur laquelle vous avez Ubooquity 24h/24h, votre bibliothèque sera accessible pour tous vos amis, quelque soit l’endroit où ils se trouvent dans le monde (à condition d’ouvrir les ports qui vont bien sur votre box) et tout moment.

Ubooquity possède 3 sections qui sont: Comics, Books et Rawfile.

La section Comics permet d’indexer des pdf et des CBR/CBZ. La section Books permet d’indexer des PDF , des epub et mobi et la section rawfile … Je ne sais pas trop ! (je n’ai pas de formats exotiques !)

Conclusion

Voilà pour la présentation de cette petite perle qu’est Ubooquity. Je n’ai pas installé la dernière version disponible car la version installée depuis 18 mois sur mon Synology tourne très bien. L’indexation a lieu chaque jour. Il m’a quand même fallu 8Go de RAM sur le Syno pour faire tourner le container Docker (il y a quelques fuites mémoires lors de l’indexation et celle-ci fond très vite). mais c’était seulement pour la première itération… par la suite l’indexation se fait par différence avec la précédente, en incrémental.

Ubooquity est un magnifique logiciel, trop peu connu, assez facile à mettre en oeuvre et offrant des services incomparables semblables à Plex dans le domaine du document numérique.

SI vous utilisez aussi Ubooquity, n’hésitez pas à déposer un commentaire. Si vous vous posez des questions, n’hésitez pas non plus !

A la demande générale, vous pourrez trouver un tuto pour l’installation et le paramètre de la solution ici

AirBnB: Réductions, litiges. Ce qu’il faut savoir !

J’ai à mon actif plus d’une trentaine de location en AirBnB, de Hokkaïdo à Los Angeles en passant par Vilnius et Tel Aviv. Je décris ici les différentes phases d’une location et je liste les différents problèmes que j’ai pu rencontrer ainsi que la manière de les résoudre.
Je ne choisis pas AirBnB parce que c’est moins cher que l’hôtel: J’ai toujours ciblé des locations au moins aussi chères que le budget hôtel que j’y aurais consacré. Je choisis AirBnb pour l’emplacement du logement, sa surface et sa décoration. 95% des locations que j’ai faites concernaient le logement entier, le reste étant en chambre privée (avec une salle de bain privative). AirBnB convient bien aux locations de quelques jours (pour une seule nuit, laissez presque tomber, le choix des logements est assez restreint).

La réservation

Le site AirBnb est pas mal foutu et assez attrayant. J’utilise l’application en mode web et aussi sur mobile iPhone ou Pad). Sur Apple TV, elle est carrément inutile car vous ne pouvez spécifier les dates qui vous intéressent…

Vous pouvez filtrer par localisation (périmètre de la carte affichée) et ensuite par catégorie (logement entier, etc). Mon premier réflexe est de filtrer par date puis par localisation car je cible en premier l’hypercentre quand il y en a un. La photo d’accroche de l’annonce a ici un rôle primordial car c’est elle qui me donne envie d’en savoir un peu plus sur le logement. Je regarde les commentaires et la note de l’hôte pour en savoir un peu plus sur l’environnement (calme ? restaurants ? voisinage ?). Je sélectionne ainsi quelques logements que j’ajoute dans une wishlist (liste de souhaits) créée à l’occasion de cette recherche. Je donne leur chance aux hôtes qui n’ont pas beaucoup de commentaires (en les contactant si besoin), on peut tomber sur de belles pépites !

Ma wishlist comporte ainsi les derniers finalistes et je n’ai plus qu’à choisir parmi eux. Il est à signaler que je peux m’y prendre 3 mois comme 1 jour avant le départ (j’ai même parfois réservé une location à 15h pour un rentrer à 17h). J’ai remarqué que de nouvelles locations fleurissaient sur le site quasiment tous les jours. C’est pour cela que je ne me force pas à mettre une location dans ma wishlist si je n’ai pas le coup de coeur, je préfère attendre que des occasions se présentent.

Une fois la location trouvée, je prends contact via le site avec l’hôte (généralement en anglais). C’est bien d’avoir une photo dans son profil AirBnB, cela permet à l’hôte de mieux vous jauger (il ne faut pas oublier qu’il va vous laisser un logement qui est peut être sa résidence principale !). Je lui expose mon projet de voyage en deux lignes, lui indique que je suis très bien noté et je lui demande s’il ne peut pas faire un effort sur le prix de la location (en justifiant que vous restez plusieurs jours de suite). Je n’ai, à ce stade encore rien réservé du tout… Il est courant de se voir proposer une réduction de 5% quand vous en demandez une. Cette réduction vous arrivera par un lien personnalisé dans votre boîte mail. C’est à partir de cette nouvelle page inédite que vous pourrez réserver au prix réduit.

Une fois la transaction effectuée, vous êtes débité de la somme mais ce n’est pour cela que l’hôte en est crédité de son côté. L’hôte sera ne sera crédité que si vous ne posez pas de réserve une fois arrivé dans le logement. A ce sujet, il est utile d’avoir enregistré ou fait des copies d’écran de la description du logement, cela vous sera utile en cas de litige (voir plus loin).

L’arrivée dans le logement

Vous pouvez avoir rendez-vous sur les lieux même du logement (si l’adresse est facile à trouver) ou à proximité, dans un lieu facilement identifiable (cas d’un AirBnB dans une médina par exemple). Dans ce dernier cas, l’hôte ou un de ses contacts vous guidera jusqu’au logement. Des horaires d’arrivée sont généralement indiqués dans le “règlement” du logement. Le plus souvent, vous pouvez négocier l’horaire d’arrivée avec votre hôte via la messagerie interne d’AirBnB, celui-ci se montrera souvent arrangeant. Il est utile d’avoir un numéro de téléphone pour joindre l’hôte (ou un contact WhatsApp) au cas où vous auriez du retard (un avion en retard, ça arrive souvent !).

Il est possible aussi que personne ne vous accueille et que les clés du logement se trouvent sur place, dans un boîte à clés, une boîte aux lettres codée ou bien tout simplement une serrure numérique. L’hôte vous aura communiqué les codes pour ouvrir la boite ou pour ouvrir la porte.

Si vous êtes accompagné, on vous fera découvrir les lieux et le fonctionnement du logement (clim, chauffage, tri des déchets, emplacement des poubelles, code wifi, etc). Dans le cas contraire, ce sera à vous de le découvrir seul ou presque: En effet, la plupart du temps, l’hôte aura laissé un petit mode d’emploi du logement, un aperçu des meilleurs restaurants, bars et marchés du coin (selon lui) ainsi que ses coordonnées pour le joindre en cas de problème.

D’une manière générale, l’arrivée dans un logement est assez agréable après un voyage: le lit est fait, l’hôte laisse le plus souvent quelques bières au réfrigérateur pour votre consommation ou bien une bouteille de vin local.

Vous pouvez utiliser toutes les convéniences du lieu. Ainsi; s’il y a un lave-vaisselle ou une machine à laver, vous pouvez vous servir des produits de nettoyage. Les condiments (sel, sucre) peuvent également être consommés. L’hôte peut aussi avoir laissé des capsules Nespresso s’il y a une machine… C’est pour vous ! L’hôte fourni également tout ce qui est serviettes de toilette, torchons, etc.

Le voisinage

Il convient de respecter le voisinage en faisant comme si vous viviez dans ce logement toute l’année: Pas de bruit superflu (les touristes ont souvent tendance à rentrer tard dans leur logement alors qu’autour tout le monde dort car travaille le lendemain), dire bonjour aux voisins rencontrés (dans leur langue, c’est mieux).

Les problèmes et litiges

J’ai parfois rencontré quelques problèmes sur place mais cela s’est toujours résolu (même si parfois la mauvaise fois de l’hôte était en cause).

Un problème agaçant c’est une connexion internet défectueuse. A Chicago, notre logement n’avait pas de connexion internet contrairement à ce qui était indiqué (On pourrait se dire que l’absence d’une connexion internet n’est pas un problème, mais dans ma manière de voyager, c’est presque indispensable car je réserve souvent du jour au lendemain sur AirBnB). J’ai contacté l’hôte du logement qui m’a indiqué que je ne savais pas m’y prendre et que ‘était de ma faute si je n’arrivais à faire fonctionner la connexion. Je me suis connecté sur leur routeur en filaire (toujours avoir un câble RJ45 avec soi) et j’ai pu faire apparaître que la connexion internet était suspendue pour non paiement. J’ai envoyé la copie d’écran à ArBnB et j’ai eu un remboursement d’environ 30% du prix de la location.

Un autre problème est un élément qui n’est plus disponible dans le logement. Cela m’est arrivé à Tel Aviv. Ainsi, le logement lors de la réservation faisait mention d’un lave linge. Nous devions rester plusieurs jours dans ce logement et c’était un élément important. En ce connectant sur le site AirBnB à la page du logement, le lave linge n’était plus mentionné dans la description, il avait été enlevé entre temps…Nous avons signalé la chose à l’hôte et à AirBnB. AirBnB nous a demandé des copies d’écran de la description de l’appartement au moment de la réservation. J’ai eu de la chance sur ce coup là car j’avais encore la page web en cache sur mon ordinateur portable et j’ai pu fournir la preuve qu’un lave linge était bien mentionné lors de la réservation. L’hôte nous a proposé de nous occuper de notre linge quand nous le souhaitions via un petit pressing local (qui est venu chercher et rapporter notre linge à notre domicile). iI est donc conseillé de sauvegarder la page web concernant le logement lors de la réservation.

Une autre surprise peut vous attendre: Tout est conforme sauf que les photos ont été prises au grand angle et que le logement est beaucoup plus petit que ce à quoi vous vous attendiez. Pas grand chose à faire dans ce cas, juste le mentionner dans les commentaires.

Il arrive que vous cassiez quelque chose (un verre par exemple) dans le logement. Le signaler aussitôt au contact. S’il ne s’agit que de vaisselle, en général cela ne pose pas de problème (c’est de la vaisselle ikéa à deux balles).

Il peut arriver aussi que quelque chose tombe en panne lors de votre séjour. Il faut alors contacter l’hôte pour le signaler. Une climatisation est tombée en panne en Israël et l’intérieur du logement était devenu un enfer. Notre hôte (qui n’était pas sur place) nous a fait apporter des ventilateurs en attendant la réparation qui a eu lieu le lendemain. Bien sur, il y a une petite contrainte: Etre là pendant la réparation mais il faut être prêt à accepter ce genre de contraintes: nous ne sommes pas non plus à l’hôtel !

Le départ

Il convient de laisser les lieux dans un bon état de propreté même si des frais de nettoyage sont perçus lors de la réservation. Au minimum, il faut avoir fait la vaisselle (ou laisser le lave-vaisselle vide). Les poubelles doivent être vidées, attention au tri (sauf indication contraire) et les draps, taies d’oreiller, housse de couette et linge de toilette entassé dans un coin.

Si vous êtes seul au moment du départ, respecter les consignes, laisser les clés dans la boite aux lettres ou dans la boîte à clés et envoyer un petit message au contact pour indiquer que vous quittez le logement.

Conclusion

Voilà, j’espère que ces quelques trucs concernant AirBnB vous seront utiles. En général, cette plate-forme ne pose pas de problème et pour peu que vous choisissiez des hôtes bien notés (ou bien des hôtes récents pour lesquels le contact est très bon).

Pour ma part, je n’ai jamais franchement eu de mauvaises surprises avec AirBnb. J’ai toujours apprécié mes choix, leur environnement, la qualité de la décoration ou tout simplement la possibilité de faire un barbecue dans le jardin ! Le fait de se retrouver dans un environnement plus vaste qu’une chambre d’hôtel mais aussi beaucoup moins impersonnel me fait toujours envisager le choix AirBnB avant le choix hôtelier classique.

Quelques souvenirs de AirBnB…

 

Freiner pour gagner ?

Ce post a 7 ans d’âge et me semble toujours (un peu) d’actualité…

Je ne suis pas contre les actions permettant d’aider la planète à s’en tirer … Je consomme comme tout le monde et j’ai aussi la même conscience que la majorité des gens que je connais: La planète j’y pense quand je peux et que cela ne représente pas un effort démesuré de ma part. Bref, je ne suis ni intégriste greenpeace (il en faut) , ni un gros gaspilleur (je trie, je co-voiture quand je peux, je marche pour les petits trajets et je ne fais pas couler l’eau pour rien quand je me lave les dents !).
Un constructeur de voitures (allemand) a eu la bonne idée d’aider la planète en récupérant l’énergie du freinage du véhicule …. Jusqu’ici, rien à dire … enfin presque … La réclame (la pub, quoi !) faite au sujet de ce système annonce: «Plus vous freinez, plus vous rechargez…». N’importe nawak ! Tu vas voir qu’il va y avoir des crétins qui vont rouler plus vite pour pouvoir plus freiner parce que c’est écolo !!! C’est sûr, il va y en avoir, j’en croise même tous les jours des gens comme ça !
Regardez, déjà, le monde roule trop vite, les conducteurs n’anticipent rien, vous collent au fesses et passent leur vie sur le frein … Mais bon sang, sauf imprévu, et dans la majorité des cas, si tu freines, c’est qu’avant tu roulais trop vite, non ? Si la vitesse est adaptée, si tu regardes les feux tricolores au loin, bref, si tu AN-TI-CI-PES, tu freines beaucoup moins. Moi, j’dis ça parce que je freine pas beaucoup (faut dire que j’ai une petite voiture qui roule pas très vite). J’ai même fait le désespoir de mon garagiste qui enrageait de ne pouvoir changer mes plaquettes car elles n’étaient jamais usées … Le pauvre garagiste, il est parti à la retraite sans jamais avoir eu à me les changer , même après 100000 km ! Lorsque j’ai pris mes leçons de conduite, j’avais une super monitrice. Son jeu favori était de compter le nombre de fois où j’avais appuyé sur la pédale de frein inutilement pendant le dernier quart d’heure de la leçon, le but était d’améliorer le score (comprenez à la baisse) la leçon suivante.
Bref, je trouve que l’on freine trop, pour rien … Alors des messages publicitaires à la con comme ça, merci, j’m’en passe !

Les Podcasts à écouter de toute urgence !

Peut-être ne connaissez-vous pas le monde du podcast … je vais vous éclairer sur ce sujet. Un podcast, c’est un billet enregistré qui peut être écouté au lieu d’être lu. Imaginez que le post que vous lisez actuellement soit en fait un enregistrement sonore que vous pouvez écouter sur votre Smartphone ou par n’importe quel autre device numérique, chez vous ou en voiture, bref,  partout où vous pouvez écouter de la musique. Un bémol cependant, l’écoute d’un podcast nécessite un peu plus d’attention qu’un fond sonore musical…

Aux podcasts originels sont venues s’ajouter une sorte de podcast qui n’en est pas vraiment: Le replay des émissions de radio. En effet, beaucoup de stations de radio proposent leurs émissions en replay dans les annuaires de podcasts. Pour moi, ce n’est pas vraiment du podcasting car à l’origine, le contenu n’a pas été créé spécifiquement pour une écoute “podcastique” mais pour la radio… Je ne suis pas raciste, j’écoute aussi ce style de replay (mais ils ne sont pas majoritaires dans mes playlists).

En parlant de playlists, voici les podcasts que j’écoute sans faillir. Comme j’ai parfois découvert ces podcasts sur le tard, j’ai souvent voulu me rattraper en me faisant des marathons d’écoute de podcasts avec les épisodes précédemment diffusés alors que j’en ignorais l’existence (souvent plusieurs dizaines d’épisodes en retard). L’écoute d’un podcast génère très souvent l’envie d’écouter d’autres podcasts qui sont mentionnés … Une sorte de surf sur les podcasts (sauf que l’écoute d’un podcast prend généralement plus de temps que la simple consultation d’une page web).

Ma playlist comporte deux types de podcasts: Ceux dont le contenu est pérenne et qui ne sont pas basés sur une actualité “trop” chaude. C’est le cas des podcasts de lifehacking (par exemple). L’autre est plutôt basée sur l’actualité (tech ou culturelle) et perd parfois un peu de saveur quand vous avez le malheur de l’écouter trop en retard (mais je connais un épisode de Tech café qui vous renvoie quelques 20 ans en arrière particulièrement savoureux !).

Culture

Le masque et la plume est l’émission culte de France Inter disponible en podcast (comprendre ici “en replay”). Livres, films et plus rarement théâtre, toutes les sorties marquantes de la semaine sont décortiquées par des critiques savoureux. Un podcast “bon enfant” qui n’est pas un “vrai” podcast mais bon, je lui pardonne ! Le problème avec ce podcast c’est qu’il vous donne très souvent l’envie de lire la plupart des livres critiqués et que cela est assez frustrant de ne pouvoir le faire !

 

 

 

Positron est un podcast de la (petite) galaxie FrenchSpin (dont le grand manitou est Patrick Beja, le seul podcaster professionnel français). positron propose 3 sujets tous les 15 jours (série, jeu vidéo, film). L’animateur est excellent et ses comparses souvent aussi brillants.

 

 

 

LifeHacking

L’éclectique Show est un podcast québécois réalisé par Mat (alias @ProfDuWeb). Tech mais aussi lifehacking, Chaque épisode est une bonne surprise ! En plus de cela, l’ami Mat est normand d’origine (mais cela ne s’entend pas à son accent !). Ce n’est pas le seul podcast ou sévit Mat, j’en reparlerai plus loin…

 

 

 

La voix de Guillaume est un podcast “tranche de vie” de la famille des streetcasts (une sorte de podcast avec un préparation plus légère, souvent enregistré en mobilité, en voiture ou en balade). On pourrait aussi parler d’une “petite” galaxie pour tous les podcasts où Guillaume sévit.

 

 

 

M streetcast par Mat alias @profduweb est le streetcast de Mat, déjà cité pour l’Eclectique Show. Il s’agit d’un billet d’humeur de Mat, billet non régulier.

 

 

 

 

Relife, le podcast est un podcast dont le maître d’orchestre est Guillaume Vendé (cité plus haut) en compagnie de Mat et généralement de 1 ou 2 chroniqueurs supplémentaire. Ce podcast parle de LifeHacking.

 

 

 

Photo

Objectif Numérique est un podcast québécois sur la photo amateur. Les 3 animateurs sont très sympathiques et ne se la pètent pas. Leur accent est adorable !

 

 

 

 

Techno

Appload, de la galaxie FrenchSpin. Je le mentionne malgré son arrêt (ou sa transformation, cela reste à voir) à la fin 2017. Vous pouvez toujours écouter les épisodes précédents. A chaque épisode, 3 applications pour smartphone sont décrites par Patrick Beja et ses chroniqueurs (dont fait souvent partie Jérôme Keinborg ). Un contenu malheureusement périssable au vu de la volatilité des applications pour smartphone.

 

 

 

Appstories, en langue anglaise.Parle d’application pour smartphone dans un sens plus général (par type d’application, par marché). Le podcast étudie aussi les applications sur des aspects psychologiques (ex : Qu’est-ce qui rend une app addict ?).

 

 

 

 

De quoi j’me mail ? est hebdomadaire et se compose de deux parties: La première évoque un dossier tech d’actualité et la deuxième fait la part belle avec des tests de produits tech.

 

 

 

 

Le rendez-vous tech de la galaxie Frenchspin animé par Patrick Beja traite tous les 15 jours de l’actualité tech. Un contenu périssable à écouter dès sa sortie (ou presque !).

 

 

 

 

Niptech: Tech & Startups porte bien son nom. La tech, ses impacts, ses problématiques, ses rachats en très géants. Ben & Mike sont deux animateurs attachants et dont l’analyse et le questionnement sont très pertinents. A retrouver environ une fois par mois.

 

 

 

Tech Café: talk-show sur la tech et ses usages. Podcast très prolixe encore animé par Guillaume Vendé. Il y a deux types d’émissions. Une purement tech généraliste et une autre appelée “la chronique des composants”, animée conjointement avec Guillaume Poggiaspalla, un puits de savoir et de connaissances qui approfondit et vulgarise des sujets compliqués d’une manière assez admirable (bien qu’un peu parfois extrémiste et radical sur ces points de vue).

 

 

 

Votre coach web, dernier podcast de cette liste et découvert assez récemment est une émission utile à toutes les personnes cherchant à améliorer leur visibilité sur le web. Axée blogs, réseaux sociaux mais aussi rapports humains, elle est dynamique et attachante. Bertrand sait manifestement de quoi il parle !

 

 

 

Voilà, j’espère que cette petite liste vous aura donné envie de découvrir le podcast si vous ne connaissiez pas ce média. Si vous êtes déjà amateur de podcasts, vous deviez déjà connaitre une bonne partie des podcasts cités. N’hésitez à m’indiquer d’autres pépites dans les commentaires de cet article. Je reviendrai parfois sur les podcasts en parlant d’émissions marquantes ou bien de nouveaux podcasts découverts au fil de l’eau. Pour ma part, j’envisage de ma lancer dans l’aventure très bientôt !

Souvenirs du Havre (et pas que …)

Je me souviens …

– De ma première montre, une Kelton avec un bracelet en plastique et dont le cadran brillait dans la nuit. A l’époque, on n’imaginait pas mettre une pile dans une montre. De nos jours, je suis toujours adepte des montres sans pile.

– De la crème Mont Blanc au goût Truffon. J’en ai mangé des kilos …

– De mon premier walkman à cassette, un Brandt sur lequel j’avais mis un casque Sony pour me la péter.

– Du Mammouth où l’on m’avait acheté mon premier vélo de course,un Stablinsky bleu.

– D’avoir été arrêté par la police pour défaut d’éclairage avec mon vélo alors que c’était limite question jour …Maintenant on peut circuler de nuit sans éclairage et en toute impunité: Je vois ça tous les jours !

– De la Fiat 124 rouge Spéciale T de mon Papa, la même que celle de Jean-Paul Belmondo dans « Le Casse » (mais Papa ne descendait pas les escaliers avec !)

– De l’Audito où l’on pouvait écouter des disques au sous-sol; d’un vendeur qui s’appelait Alain (avec les moustaches). J’adorais l’atmosphère feutrée et luxueuse (pour le matériel HIFI) de ce magasin unique au Havre et jamais reproduit.

– De la première fois où j’ai mis un casque audio sur les oreilles, à l’Audito, justement.

– Du bar « La chope d’or » où j’ai passé des après-midi enfumés.

– Des tickets de quai payants quand on accompagnait quelqu’un au train (quelle connerie !)

– De la piste de skate de la plage avec les éléments en résine.

– Du bus qui montait la rue des Aubépines quand il y avait de la neige. On se marrait comme des fous avec mon frère à le voir patiner!

– De la librairie Vincent où j’ai passé des bons moments et claqué plein d’argent.

– Des Nouvelles Galeries avec la passerelle pour passer d’un bloc à l’autre.

– Du magasin Sport House (rue du Président Wilson) où l’on achetait à prix d’or Skateboarder Magazine en import des US.

– Du France qui faisait partie du paysage portuaire.

– Des descentes en skate sur le trottoir du boulevard Albert 1er.

– De la brasserie de l’esplanade Niemeyer (on appelait ça le forum Niemeyer). Il y avait un piano et toujours plein de monde.

– Des nuits cinéma organisées par la Maison de la Culture. Il y avait au moins 5 films d’affilée sur un même thème. Ca se terminait à 4 heures du matin. La nuit Hitchcock, La nuit des vampires et j’en oublie …

– Du magasin Boka où j’accompagnais parfois ma Maman. Les mannequins femmes étaient des modèles réduits d’un peu plus d’un mètre mais super bien faits.

– Du Petit Paris et du Petit Vélo Rouge, deux magasins cultes. Mon préféré c’était le Petit Vélo Rouge: Pour un gamin, c’était la caverne d’Ali Baba avec une odeur de vieilles choses qui m’enchantaient. C’était le précurseur de nos solderies, boutiques où je ne mets jamais les pieds d’ailleurs.

– De la foire Saint Michel le long du Cours de la République.

– De la compagnie Normandy Ferries avec leur bateaux bleu clair, mon premier voyage en Angleterre…

– Du cinéma le Kursaal au bout de la rue de Paris.

– Du Bouquiniste au Rond Point où pour « presque rien » on repartait avec plein de trucs à lire.

– Des « Dossiers de l’écran » le mardi soir.

– Du cinéma le Rex (maintenant Darty) où le dernier film que j’y ai vu était “Skateboard”.

– Des premiers terminaux de consultation de la bibliothèque municipale avec le système Tobias.

– De la tarification des bus où, selon la distance, il fallait utiliser 2, 3 ou 4 petits tickets pliés …

– De la série Cosmos 1999 qui passait sur la première chaîne dans « Samedi est à vous » avec Bernard Golay.

– De la papeterie Ferry le Pierres du Rond Point et de leur rayon micro informatique au premier étage. Les premiers échanges de disquettes d’Amstrad piratées …

– Des concerts de Juin dans la rue qui attiraient un monde fou et aussi de la venue de Johnny Clegg à la Porte Océane.

– De la section Disques de la bibliothèque où il fallait ramener périodiquement son diamant pour contrôle !

– De l’opération commerciale à Coty avec la venue du skater José De Matos (quel nom prédestiné) qui représentait la marque Banzaï (en vente au magasin La Hutte) … Mais nous on préférait Alexis Lepesteur !

– Avoir vu creuser les tunnels du Rond Point, ceux-la même que l’on a  remblayés pour y faire passer le tramway.

– Des descentes du tunnel Jenner en skate, ça se terminait avec les roues toutes noires.

PS: Oui oui, c’est moi sur la photo … A la “piste de skate” comme on disait …

Vos produits de toilette 3 fois moins chers … En Allemagne :-(

A l’heure où l’on entend de plus en plus que les grandes surfaces exercent des pressions infernales sur leurs fournisseurs, il est un scandale rarement évoqué mais néanmoins choquant.

De passage en Allemagne, je me promenais dans les rayons produits de toilette et de beauté d’un centre commercial. pour le Français non frontalier que je suis, une évidence saute aux yeux: Les prix sont beaucoup moins élevés qu’en France ! Ainsi, le même déodorant pour homme passe de 1,55€ TTC en Allemagne à 4,03 TTC en France … 160% d’augmentation juste pour traverser le Rhin ! Le prix français a été relevé dans une grande surface de l’hexagone juste à mon retour, c’st à dire 2 jours après avoir relevé le prix en Allemagne. une différence de TVA ne peut expliquer un tel écart, alors, qui s’en met plein les poches .

Et il suffit de se balader dans le rayon pour constater que quasiment tous les produits sont concernés (autre exemple: Le Piz-Buin est 100% plus cher). Seul le dentifrice Sensodyne semble jouer la parité.

A ma connaissance, cette énorme différence de prix est injustifiée et je n’en ai jamais entendu parler dans les médias pourtant à l’affût du moindre scandale…

Cet état de fait semble propre à la France: Nous sommes aussi bien plus chers que les USA ou l’Irlande pour ce type de produits.

Si vous avez une explication, je suis preneur. En attendant, n’hésitez pas à partager ce billet d’humeur car c’est la seule manière de faire cesser ce scandale. moi, je vais me renseigner sur le prix de la vaseline en attendant…

L’application Tydlig pour iOS : La calculatrice révolutionnaire !

J’évoque aujourd’hui un produit trop méconnu : Tydlig. Tydlig est une application de calculatrice pour iOS (iPhone et iPad) et elle est vraiment révolutionnaire.
Lorsque vous la démarrez, Tydlig vous propose l’environnement dans lequel vous avez utilisé l’application pour la dernière fois. Si c’est la première fois que vous l’utilisez, la page d’accueil sera blanche avec dans sa partie inférieure un clavier de saisie.
Il faut voir Tydlig comme une sorte de tableur où vous pouvez placer librement vos données (il n’y a pas de cellules), le concept est très spécial mais vite indispensable quand on utilise souvent une calculatrice.
Au fur et à mesure de votre frappe, les calculs sont réactualisés automatiquement:

Vous pouvez reprendre n’importe quelle valeur (saisie ou calculée) et la réutiliser dans un calcul:

Vous pouvez affecter des labels qui s’affichent au-dessus de chaque valeur, ceux-ci seront automatiquement repris si vous réutilisez la valeur pour un calcul en cascade. Un code couleur indique également le rapport entre les différentes données de votre page:

Il est possible, pour chaque entrée, de la faire varier dans un intervalle avec un curseur et ainsi pouvoir évaluer facilement différents scénarios.

A tout moment, vous pouvez faire apparaitre un graphique représentant une fonction mathématique que vous étudiez.

Bien entendu, toutes les fonctions classiques des calculatrices sont présentes. Il est possible d’exporter votre page de calcul au format PDF.
Sur iPad, elle est encore plus impressionnante : La page étant plus grande (l’appli n’est pas en mode de compatibilité iPhone), elle permet l’affichage simultané de beaucoup de données, ce qui est très agréable.

Il ne s’agit cependant pas d’une calculatrice programmable: il ne vous est pas possible de créer vous-même une fonction que vous pourriez stocker de façon permanente et réutiliser quand bon vous semble. Il n’est pas possible non plus de créer des canevas réutilisables ni de sauvegarder une page pour la réutiliser à l’envie : La seule « sauvegarde » possible est de quitter l’appli sans effacer la page (les fonctions classiques d’annulation d’une saisie ou bien de l’ensemble des saisies/résultats d’une page sont bien évidemment présentes).

Malgré tout, l’application bien qu’assez ancienne (cela fait plus de 3 ans que je l’utilise) réinvente complètement la calculatrice. Malgré son prix (environ 2 €), je la recommande vivement dès que vous avez plus de 2 calculs enchaînés à faire, elle vous fera gagner un temps précieux !
Une petite vidéo de démonstration:

La caméra de surveillance IP Knewmart

Reprise d’un article du 18/04/2017.

J’ai acheté il y a quelques jours une caméra de surveillance sur Amazon. L’objectif était d’avoir une caméra capable de diffuser des images de mon intérieur sur mon téléphone alors que je suis absent de mon d omicile.
Après consultation du choix sur Amazon, je me suis porté sur une caméra très bien notée de marque KnewMart assez récente sur Amazon car mise en ligne en décembre 2016.

Je suis très content de mon achat car ce petit bijou a plein de qualités et il fonctionne très bien, jugez plutôt :

  • Haute définition 720p en couleur, l’image est vraiment belle, bien définie et contrastée.
  • Wifi ou câble Ethernet (pour ma part, elle fonctionne en Wifi)
  • Positionnable en intérieur ou extérieur
  • Discrète.
  • Fluidité de la vidéo (ce n’est pas du 24 im/s mais cela reste malgré tout très fluide sans lag… ma liaison fibre y est aussi pour beaucoup).
  • Simplicité d’installation (presque rien à faire !).
  • Tête motorisée orientable à distance dans tous les sens via l’application du téléphone (355° en rotation et 90° en inclinaison)
  • Mode nuit vraiment efficace (même si l’on ne peut pas reconnaître quelqu’un en mode nuit, on voit très bien ce qu’il se passe). Les LED infrarouge portent à 10m.
  • L’application fournie permet de programmer des angles de vue pour un accès direct à l’angle de vue souhaité.
  • Possibilité de déclencher une prise de photos et/ou vidéos lors de la détection d’une présence (avec notification sur le téléphone).
  • Zoom.
  • Micro permettant de capter l’ambiance sonore.
  • Haut-parleur : Il est possible de diffuser votre voix à travers la caméra (vous parlez dans le téléphone et votre voix est diffusée par la caméra).
  • Possibilité de stocker les images sur une carte SD située dans la caméra (24 heures d’enregistrement continu !)
  • L’application permet de gérer simultanément 4 caméras de la même marque.
  • Possibilité de prendre des photos ou des vidéos à distance à partir de l’application sur le téléphone.
  • Le prix est de 46 € port compris !

C’est une caméra capable d’être positionnée en extérieur mais je ne connais pas les caractéristiques d’étanchéité. A mon avis, il vaut mieux qu’elle soit bien à l’abri de la pluie… En tout cas, pour mon utilisation en intérieur c’est parfait et je ne regrette absolument pas mon achat. Si vous êtes à la recherche d’un produit de cette nature, allez-y !

Ma fourchette connectée SlowControl

Reprise d’un article d’avril 2017

C’est bien connu, ce n’est pas bon pour la santé de manger trop vite : La notion de satiété n’a pas le temps d’arriver, on ne mâche pas assez (laissant tout le boulot à l’estomac). De plus, socialement, c’est pénible de systématiquement terminer son assiette avant tout le monde. Moi, j’ai tous ces défauts-là et depuis tout petit ! Je ne peux me retenir devant mon assiette : Il faut que je la finisse « le plus vite possible » et je me jette comme un gros goulu dessus sans réfléchir et en oubliant toutes mes bonnes résolutions pourtant bien présentes dans ma tête quelques secondes avant d’être servi !.
Pour corriger ce défaut, je me suis acheté il y a quelques semaines une fourchette connectée de la marque SlowControl (Il me semble qu’ils sont les seuls sur ce créneau).

Comment ça marche ? Est-ce efficace ?
La fourchette connectée est une vraie fourchette qui détecte vos mouvements et vous prévient lorsque vous portez la fourchette à votre bouche sans respecter une durée que vous avez choisie. Elle vous prévient par une petite diode lumineuse et également par une vibration. L’intervalle entre deux coups de fourchettes est réglable via une application iOS/Androïd gratuite (on ne dit pas fourchetée, ce terme signifie autre chose !). La communication entre l’appli et la fourchette s’effectue en BlueTooth. Une fois réglé le comportement de la fourchette (réglage durée intervalle et signification des diodes lumineuses), la fourchette peut très bien être utilisée seule de façon autonome sans être connectée. Elle vous préviendra que vous mangez trop vite comme une grande (et assez discrètement). Si vous désirez analyser votre repas, vous pouvez aussi décider de manger avec la fourchette connectée à l’appli et vous obtiendrez des statistiques en temps réel sur votre nombre de « coups de fourchettes à la minute » (mais je n’en vois pas bien l’intérêt).
La solution est très efficace et cela marche très bien. J’ai réglé un intervalle de 10 secondes et une diode qui du rouge passe au vert quand les 10 secondes sont écoulées. Je n’ai pris en défaut la fourchette qu’une seule fois : Manger des spaghettis trompe les capteurs de la fourchette (les mouvements un peu spéciaux lui font croire qu’elle a été portée à la bouche alors qu’il n’en est rien.). Dans ce cas, si vous voulez manger tranquille, vous éteignez la fourchette (la diode fait aussi office d’interrupteur).
La fourchette possède une prise micro-USB pour être rechargée (une fois tous les 15 jours). Elle ne passe pas au lave-vaisselle ou alors il convient de démonter la partie électronique auparavant.

Elle est livrée avec un couteau assorti dont l’usage est conseillé afin d’éviter des interférences (d’après la notice). Pour ma part, avec ou sans le couteau adapté, cela fonctionne bien. Il y a plusieurs coloris disponibles. Les deux couverts sont livrés dans un étui très pratique.
Le seul inconvénient que j’ai trouvé à cet ustensile bien pratique est qu’il n’est pas très discret : C’est un peu la fourchette de Oui-Oui. Difficile de passer inaperçu avec ça dans un grand restaurant … Laissez-la à la maison ! Et c’est dommage car c’est plus sur ces moments de convivialité que vous aimeriez faire durer votre assiette !
Une dernière chose : Chassez le naturel, il revient au galop : Sans ma fourchette SlowControl, je recommence à manger rapidement ! il faut croire que c’est une habitude difficile à perdre !

Comment je sauvegarde mes données importantes !

J’ai peaufiné un système de sauvegarde qui me permet d’être à peu près à l’abri de tout incident…

Mon cahier des charges est le suivant :

  • Sauvegarde des données personnelles de ma machine principale (un Mac).-
  • Sauvegarde de certains répertoires du Synology.
  • Récupération des données « en bloc » en cas d’incident sur une machine locale (iMac ou Synology).
  • Récupération facile d’un fichier en particulier.
  • Récupération des données en cas de destruction totale des équipements.
  • Automatisation du procédé de sauvegarde.

J’ai mis en place plusieurs mécanismes pour répondre à cette problématique :

Tout d’abord, le Mac est sauvegardé localement sur un disque externe relié au Synology via Time machine. Cette sauvegarde est réalisée toutes les 5 minutes. Pour avoir déjà restauré entièrement un Mac à l’aide de Time Machine, j’ai une entière confiance en ce système. C’est mon premier niveau de sauvegarde et de restauration, celui que j’utilise quand j’ai effacé un fichier par erreur ou un peu trop vite…
Mes fichiers personnels présents sur le Mac sont en plus répliqués sur le NAS Synology une fois par jour. Le répertoire du Mac Utilisateurs/ArnaudL (en gros la petite icône “maison” du Mac est ainsi copiée de façon incrémentale dans un répertoire spécial du Synology. J’ai testé plusieurs outils pour cette Synchro et j’ai eu beaucoup de mal à trouver un outil simple et parfait. L’utilitaire Sync Folders Pro (payant) ne me copiait pas tout et ignorait purement simplement des répertoires. L’outil Synology Cloud Station Drive (client associé à Cloud Station Server sur le Syno) n’était pas non plus parfait et m’ignorait des datas. Je n’ai pas testé la solution Bittorrent Sync ni la solution Crashplan. J’ai finalement trouvé la perle rare: Un outil simple, fiable et gratuit: FreeFileSync !

La période Amazon Drive illimité …

Pour sauvegarder les éléments précieux du Syno, j’ai pris un abonnement à Amazon Drive qui pout 70€ par an permet de stocker un volume illimité de données sur un serveur « dans le cloud ». Je n’ai pas de problème de sécurité à prendre en compte, j’imagine qu’Amazon a bien mieux à faire que de fouiller dans mes fichiers. Cette offre d’Amazon  a malheureusement pris fin et mon abonnement sera terminé en mars 2018. Amazon me propose maintenant de sauvegarder mes données pour environ 800€ par an (il faut dire que je sauvegardais une bonne partie du NAS en plus de mes données brutes personnelles…).

Le AirBnb de la sauvegarde !

Comme il n’était plus possible de sauvegarder mon NAS sur Amazon avec l’excellent logiciel de sauvegarde HyperBackup fourni par Synology, j’ai dû me tourner vers une autre solution…

Hyperbackup permet de sauvegarder vers un autre NAS Synology. Mon plus proche collègue (et aussi ami) possède un Synology et comme moi, il est fibré. Nous avons donc installé une sauvegarde symétrique de nos Synology. J’ai fourni un disque externe qu’il a branché sur son Synology et j’ai fait de même avec le disque externe qu’il m’a fourni. Et toute les nuits, les données essentielles de mon Synology (dont la copie de mon répertoire utilisateur sur l’iMac) sont sauvegardées. C’est une sauvegarde incrémentale et cryptée (c’est à dire que moi seul peut voir le contenu de cette sauvegarde). La première itération est un peu longue (800 Go à passer par la fibre, à raison de 30Go par heure environ) mais après, quelques minutes chaque nuit sont suffisantes pour sauvegarder les changements. Ainsi, même en cas de vol ou destruction du matériel, j’ai une copie de mes données quelque part en dehors de chez moi. De plus, J’ai demandé à Hyper Backup de garder 99 versions d’historique de fichiers. Je peux donc remonter dans le temps et récupérer des vieux fichiers si j’en ai besoin. Cette précaution est particulièrement utile en cas d’attaque par un ransomware.

J’espère que cet article vous aura servi. N’oubliez pas que la sauvegarde de vos données est une chose primordiale, que les données numériques sont des petits objets très fragiles qui peuvent disparaitre par milliards en une fraction de seconde…

Sur la photo, on peut voir le Synology DS416+ (dans son débarras car l’objet est assez bruyant, à gauche un premier disque externe abritant les torrents en partage, au dessus un premier disque externe pour la sauvegarde TimeMachine et encore au dessus et connecté en façade, le disque externe contenant la sauvegarde de mon ami).

Test du Xiaomi Mi Band 2

Mise à jour du 03/01/2018:

J’ai malheureusement changé d’iphone sans dé-jumeler le bracelet dans l’application Xiaomi (Ce qu’il ne faut jamais faire !): Mon bracelet ne peut plus se connecter à aucun device depuis ce changement. Il apparait, en cherchant sur les forums, que pour un changement de téléphone, il convient de supprimer le bracelet dans l’application Xiaomi ce qui permet au bracelet d’être ré-associé à un autre téléphone. Pour ma part, je ne l’ai pas fait et j’ai fait un reset usine sur l’iPhone sans supprimer l’association (il ne s’agit pas de l’association Bluetooth, mais bien de l’association du bracelet avec l’application sur le téléphone). Depuis, il m’est impossible (et le SAV me l’a bien confirmé) de ré-associer le bracelet à mon nouveau téléphone (et ré-installer l’application Xiaomi sur l’ancien téléphone ne mène pas plus loin …). Ja’i depuis investi dans une Apple Watch qui me donne entière satisfaction.

Reprise d’un article écrit en avril 2017 (sur mon ancien blog Havreetautres.fr.

J’ai acheté mon Xiaomi Mi Band 2 pour remplacer ma ceinture cardio BlueTooth Polar dont le bluetooth ne fonctionne plus. Ce bracelet d’activité d’origine chinoise est extrêmement bon marché : une vingtaine d’euros.

Est-ce qu’il fait le job ? Vous le saurez dans les lignes qui suivent …

Le bracelet est très léger, son autonomie d’une quinzaine de jours. Il n’est pas désagréable à porter. Il offre les fonctions suivantes : date/heure, notification sms/tweet (par vibration), nombre de pas, km parcourus et surtout il indique la fréquence cardiaque.
C’est surtout cette possibilité d’avoir ma fréquence cardiaque qui a motivé cet achat, les autres fonctions étaient déjà remplies par mon iphone 7. L’obtention de la fréquence cardiaque se fait en sélectionnant le mode qui va bien sur le bracelet, au bout d’un temps de 3 à 4 secondes, la fréquence cardiaque s’affiche. Elle est relativement juste car je l’ai comparée avec un cardio qui se positionne sur un bout de doigt lors d’une visite médicale (l’écart était de 1 pulsation : 63 contre 64). Lorsque j’ai reçu mon bracelet, l’obtention de la fréquence cardiaque était assez aléatoire mais depuis la dernière mise à jour du firmware du bracelet, elle est infaillible.
Malgré tout, je suis déçu par ce bracelet qui n’offre pas un affichage en continu de la fréquence cardiaque : Il faut relancer le processus pour obtenir une nouvelle fréquence cardiaque … C’est loin d’être suffisant pour quelqu’un qui court et qui veut superposer son tracé de pulsations à son parcours de running.
J’ai eu vent d’une application iOS payante permettant de s’affranchir de cette limitation : Mi HR. Cette application devait permettre de récupérer la fréquence cardiaque en permanence et de la rendre disponible pour les autres applications (iSmoothRun, Runkeeper, etc). La promesse est loin d’être tenue et l’application fonctionne quand elle le veut bien. Je déconseille donc l’achat de cette application !
Depuis, j’ai lu un peu de littérature sur ce bracelet… Xiaomi indique que la fiabilité de la mesure de la fréquence cardiaque n’est assurée que lorsque l’on n’est pas en mouvement, bras et poignet immobiles … cette dernière limitation donne le coup de grâce à une utilisation de ce bracelet pour le sportif…Pour les autres, pourquoi pas …

Choix d’une liseuse: Kindle ou Kobo ?

Force est de constater autour de moi que le marché des liseuses numériques est trusté par ces deux candidats : Kindle et Kobo. J’entends deci delà quelques allusions à une liseuse Sony mais ça cause pas bien fort de ce côté là… Ayant possédé successivement des Kobo puis une Kindle, je vais vous indiquer pourquoi je préfère l’une ou l’autre à travers une comparaison.

Je ne reviendrai pas sur les avantages d’une liseuse électronique par rapport au livre traditionnel: Poids plume, possibilité d’avoir une partie de sa bibliothèque avec soi (pratique en vacances), lecture d’une seule main (pas de pages qui volent au vent et imposent d’avoir les deux mains qui tiennent le livre), dictionnaire accessible à tout moment…Et surtout, possibilité de régler la police et la taille des caractères affichés et l’espace interligne. Petite cerise sur le cake, les liseuses vous indiquent votre progression dans le livre (pourcentage) et calculent pour vous le temps restant pour terminer le chapitre en cours (en fonction de votre vitesse de lecture actuelle). C’est très pratique pour savoir si vous avez le temps de terminer un chapitre avant de le commencer ! Les liseuses ne sont pas destinées à lire des fichiers PDF et le confort de lecture avec les PDF n’est pas le même qu’avec des fichiers prévus pour liseuse (pas de réglage de la taille de la police avec des PDF). Pour les deux marques, il est possible d’envoyer directement des articles comme des pages Web sur la liseuse via Wifi afin de pouvoir ensuite les lire sur la liseuse sans être connecté. La plupart des navigateurs proposent des plugin d’exportation de page web.

Tout d’abord, j’ai eu deux Kobo que j’ai revendues pour acheter une Kindle. Ma première, le modèle Kobo Touch,  n’était pas rétroéclairée et ne peut donc pas rivaliser avec les deux modèles de liseuses passés entre mes mains par la suite. Je vais éluder très vite la Kobo Touch : Format de poche (moins épaisse qu’un livre), elle fait le minimum, elle est pratique et pas ruineuse.

Le premier critère d’achat pour une liseuse est de savoir si l’on veut un modèle rétroéclairé ou non. Kindle et Kobo proposent les deux types. Un modèle rétroéclairé est plus onéreux mais il faut savoir que même en plein jour, le rétroéclairage (réglable en intensité) procure une belle blancheur à la page ce qui est très agréable à l’œil. La nuit, il permet de lire sans avoir à allumer la lumière de la lampe de chevet ce qui est appréciable lorsque l’on est insomniaque et en couple…

Ma première Kobo rétroéclairée était un modèle Glo. Cette liseuse possède un port microSD en plus de sa mémoire embarquée. Le point fort des modèles Kobo, c’est leur capacité à lire directement des fichiers ePub. ePub est le format de livre électronique le plus répandu. Vous branchez la Kobo sur votre ordinateur et Hop !, vous transférez et vous pouvez commencer à lire. La mémoire d’origine permet de stocker assez de livres pour vos 5 prochaines années de lecture, ce n’est pas vraiment un critère de choix pour une liseuse. La Kobo possède une connexion Wifi et permet de parcourir le magasin de livres Kobo et d’en acheter à partir de la liseuse. Le téléchargement commence alors et très rapidement le livre se trouve téléchargé sur la liseuse. L’autonomie est de plusieurs semaines. Le point faible de Kobo c’est sa réactivité : Attendre un quart de seconde que votre action sur l’écran tactile soit prise en compte est vraiment pénible (parcourir rapidement un livre est un cauchemar). J’ai revendu ma Kobo Glo car celle-ci ne supportait pas la chaleur des plages israëliennes : La liseuse se figeait toutes les 10 minutes dès qu’il faisait un peu chaud. Je devais alors la rebooter ce qui devenait assez fastidieux (j’adore lire à la plage…).

J’ai donc voulu changer de crémerie…Je suis allé voir le concurrent le plus proche: Amazon. J’ai choisi le modèle Kindle Paperwhite sans publicité (Amazon propose une petite réduction sur sa Kindle si vous acceptez de « recevoir » de la publicité pour certains livres sur votre Kindle. Rassurez-vous, cette pub n’intervient jamais pendant votre lecture, c’est juste une proposition qui s’affiche quand vous allumez votre Kindle). La PaperWhite est la concurrente de la Glo de Kobo. L’affichage de la PaperWhite est sensiblement de la même qualité que celui de la Glo, peut-être un peu plus blanc mais cela reste à vérifier. La réactivité de la PaperWhite est impressionnante (par rapport à la Kobo) : Elle obéit au doigt sans latence, ce qui permet d’effectuer toutes les actions du premier coup, sans se tromper. La Kindle ne possède pas de port pour une carte mémoire d’extension mais ce n’est pas gênant : De base la mémoire est très confortable (plusieurs centaines de livres…). Etrangement, la liseuse n’affiche pas la couverture du livre en cours de lecture lorsqu’elle n’est pas utilisée (la Kobo le faisait) . Comme nous possédons chacun notre PaperWhite mon épouse et moi, il n’est parfois pas facile de distinguer l’une de l’autre : Il est parfois nécessaire d’allumer une des deux pour cela. Les Kindle ont aussi une connexion Wifi permettant d’accéder à l’immense catalogue de livres numériques d’Amazon et d’acheter à partir de la liseuse (comme chez Kobo). Le point noir des liseuses Amazon, c’est leur fermeture au standard ePub : Vous ne pouvez pas transférer directement un fichier ePub vers une Kindle. Il faut auparavant lui faire subir une transformation à l’aide de logiciels (gratuits). Pour ma part, j’utilise pour cela Calibre (qui tourne sur Mac et PC). Calibre est très facile à utiliser mais malgré tout, c’est un point d’attention pour les personnes qui ne possèdent pas d’ordinateur à la maison. Une autre alternative est d’utiliser le programme d’Amazon KindleGen (gratuit lui aussi). Le format de prédilection à utiliser pour la Kindle est le mobi (Calibre gère très bien la transformation de ePub en mobi).  Avantage énorme du Kindle par rapport à la Kobo : Chaque Kindle possède une adresse email et vous pouvez envoyer des fichiers mobi à la Kindle par mail, ceux-ci seront directement intégrés comme livres dans la bibliothèque de la liseuse de manière complètement transparente. C’est très pratique pour mettre de nouveaux livres sur sa liseuse sans la connecter ou pour envoyer un livre à quelqu’un qui se trouve à l’autre bout du monde. Un dernier point positif : Les liseuses Kindle sont les seules à posséder la police d’affichage Bookerly que je trouve très agréable.

Voilà, j’ai fait mon petit tour d’horizon. Si vous n’avez pas encore de liseuse, vous pouvez enfin vous décider !

Court séjour à Vilnius

J’ai passé le jour de l’an 2018 (et le réveillon de la Saint Sylvestre 2017) à Vilnius (Lituanie). Au mois de décembre, la Lituanie est un pays assez froid et pluvieux (en moyenne 0-1°C). Je n’ai pas d’hôtel à recommander car nous étions dans un appartement AirBnB absolument génial, en plein old town.

Je vous conseille la bière Humulupu IPA. Il s’agit d’une bière locale, IPA avec une amertume assez prononcée (je n’ai pas l’EBU). Vraiment une bière à goûter (et re-goûter et encore …) de préférence dans un tout petit bar dans old Vilnius Town (Boksto 8)

.Je recommande aussi le gastropub Mason. Ragoût divin, ambiance très cozy et serveuse très bonne conseillère !