Les Shtisel – Une famille à Jerusalem

2 saisons pour cette série israélienne de 2013. Nous sommes plongés au coeur d’une famille ultra orthodoxe en plein coeur de Jerusalem. Pas beaucoup de vue de la ville, tout se passe pratiquement en intérieur. On y apprend les mariages arrangés, les différentes coutumes très particulières. Pas de rebondissement, ni de suspens haletant: Juste une série que se regarde qui se regarde comme un fleuve tranquille, très bien filmée (avec une lumière assez exceptionnelle) et bien interprétée.

Shtisel est le nom de cette famille. Au cours de ces deux saisons de 12 épisodes chacune, nous suivrons plus particulièrement le père, Shulem et un de ses fils, Akiva. Péréginations amoureuses, timidité, restes de Shoah (discrets), célébration du shabat…La plongée est profonde, semble réaliste, sans traits grossiers. La famille vit repliée sur elle-même et les autres communautés (juives ou pas) de Jerusalem sont absolument ignorées.

A voir absolument car le rythme est très reposant, le cadre poétique (Akiva est artiste) et la découverte de cette communauté vaut le coup d’oeil. 

Découverte de CloudAhoy

J’ai découvert il y a quelques temps la plateforme CloudAhoy permettant l’analyse fine des traces GPS d’un vol (avion ou ULM). Je dis “plateforme” car CloudAhoy est décliné en mode web et en mode application pour iOS (iPhone et iPad … Mais sur un iPhone, l’exploitation me parait difficile). Je débute avec ce logiciel, aussi je ne vous donnerai qu’un très vague aperçu dans ce qui suit.

Qu’est-ce que ça fait ?

CloudAhoy est un outil graphique d’analyse d’un vol (VFR ou IFR…Dans cet article, nous ne parlerons que du VFR … et encore, je n’ai pratiqué que quelques vols en local depuis la découverte de CloudAhoy). L’application iOS vous permet d’enregistrer votre vol puis de l’analyser au retour. Les enregistrements des vols sont centralisés sur leur cloud, c’est à dire que vous pouvez poursuivre votre analyse sur le web (avec un grand écran) ou bien sur le terminal iOS. CloudAhoy ne vous oblige pas enregistrer votre vol avec l’application dédiée, vous pouvez aussi importer une trace GPS provenant d’un autre appareil (pour ma part, je possède le Skypro GPS XGPS160 qui fonctionne très bien en bluetooth avec iOS et qui en plus enregistre la trace GPS en autonome).

Les différents modes d’abonnement

Et oui, vous vous doutez bien que les types qui ont fait ce superbe outil ne travaillent pas pour rien … Mais rassurez-vous, il y a un mode gratuit.

Le mode gratuit vous offre une trace en 2D sur une carte satellite, il n’apporte pas tellement plus que l’import d’une trace dans Google Earth selon moi.

Le mode Pro, pour 65$ par an, est selon-moi le plus intéressant si vous n’êtes pas masochiste: Il vous permet l’analyse de votre vol, son découpage en segments, la vue 3D, la vue cockpit. c’est le mode que je vais décrire par la suite.

Le mode CFI qui vous permet d’analyser tout ce que fait le mode Pro mais en plus, vous pouvez donner des enveloppes de vol pour certaines phases et ainsi avoir un score pour tout le vol ou bien pour une phase précise. Un peu trop fort comme manière de s’auto-punir je trouve. Ainsi, si vous décidez que la finale doit être pendant toute sa durée entre 108 et 112 km/h (désolé, je ne fais plus que de l’ULM pour raison de santé, je raisonne maintenant en km/h…), si vous êtes en dehors de l’enveloppe à 113, vous aurez des mauvais points (Comme on parle de trace GPS, il ne s’agit ici que de vitesses sol …)

L’écran d’analyse

L’écran de la version web est assez sympa (pour la tablette, cela se présente à peu près pareil).

Un écran typique de CloudAhoy

La disposition (layout) des différents fenêtres est très modulable et nul doute que vous arriverez à la disposition de vos rêves. Que voit-on sur cet écran ?

La ligne du haut vous permet de sélectionner un vol, d’accéder à votre compte et d’accéder à l’écran affiché (mode “Debrief”).

la ligne du bas est une timeline de votre vol. il est possible de posiotnner le curseur à n’importe quel endroit ou bien de dérouler le vol en mode replay (avec possibilité de l’accélérer).

La partie gauche vous permet de visualiser quelques infos sur le vol, sa durée, ses différentes phases analysées par le logiciel (ainsi si vous avez fait 15 tours de piste, vous pouvez les sélectionner individuellement et la faire apparaître tout seul sur la trace 3D.

La trace 3D occupe la plus grosse portion de cet écran. on voit le découpe des phases du vol avec en bleu foncé, la montée initiale, en bleu clair, le vol lui-même, en vert, les phases de descente et la finale en blanc. On peut changer cette fenêtre par une trace de 2D (qui correspond alors à la petite fenêtre en bas à droite). On peut zoomer dans ces fenêtres et on peut également tourner l’affichage dans tous les sens pour voir la trace sous d’autres coutures. Il est possible de remplacer la vue 3D par une autre vue, par exemple la vue cockpit 3D:

CloudAhoy : La vue cockpit 3D

On voit ici la fin de la finale 05 à LFOY. Ce qui est assez fort c’est que le logiciel arrive à déterminer La TAS (True Air Speed) alors que ‘il n’a qu’une vitesse sol … Il doit chopper des indications météo de vent moyen ou quelque chose du genre. Une chose est sûre, dans ce cas, la vitesse de 115/116 km/h était assez juste car i y avait environ 20/25 km/h de vent dans l’axe.

La partie droite supérieure représente les deux paramètres altitude et vitesse sol. On peut rajouter des paramètres moteur (tours/mn, températures, etc) si votre avion est équipé pour enregistrer ces données. Il est possible de zoomer sur différentes phases du vol. Ainsi, si je zoome sur le segment de la finale, j’ai cette représentation de mon plan de descente (en vert) par rapport au plan de descente idéal en pointillés:

CloudAhoy ; Zoom sur la finale

La partie droite inférieure représente la trace 2D du vol (un bien joli vol au départ de LFOY passant par Antifer, Etretat et remontant presque jusqu’à Fécamp puis retour à LFOY). La vidéo est ici:

Ce que je n’ai pas testé: Bien sûr la partie IFR, la partie permettant d’importer une prévision de navigation et de voir comment “vous avez collé” aux prévisions. La possibilité d’importer des vidéos et de les caler avec la timeline du vol (je pense qu’il doit être aussi possible d’importer les communications/intercom enregistrées si vous les avez…).

Ma conclusion (pour le moment):

Je profite actuellement d’une période d’essai de 30 jours de la version Pro, je n’ai donc pas encore souscrit à l’abonnement annuel. Après quelques années à piloter sans trop me soucier de la qualité de mon pilotage (mais toujours dans la sécurité !), je trouve avec cette application un intérêt certain pour s’auto-contrôler après le vol et se faire un petit débriefing perso. La tenue en palier, la tenue du cap, du plan de descente, toutes ces infos sont assez utiles pour savoir si votre vol était propre et savoir ce qu’il faut travailler pour le prochain vol. De plus, par ces temps de confinement, cela permet de revivre certains vols, ce qui n’est pas du plus désagréable …

Installation de Ubooquity 2.1.2 sur Synology avec Docker

Edit [08/10/2023] Exit Ubooquity, je suis passé sur Kavita

1. Introduction

Pour cet article, je pars du principe que vous avez déjà installé Docker sur votre Synology. Si ce n’est pas le cas, je vous invite à lire cet article. Pour Docker en architecture Intel 64bits, il existe plusieurs conteneurs Ubooquity prêts à l’emploi. Ils n’ont pas tous la même popularité:

J’en ai testé deux et un seul des deux a démarré correctement:

  • linuxserver/ubooquity : Pas de problème
  • zerpex/ubooquity-docker : démarre, se plante au bout de 15 secondes puis redémarre et ainsi de suite …

En préalable, sur votre Synology, dans le répertoire /docker, créez un sous-répertoire linuxserver-ubooquity (avec votre compte administrateur).

2. Récupération de l’image

Dans Docker, sur votre Synology, allez sur Registre, tapez “ubooquity” dans le champ de recherche et sélectionnez le conteneur le plus populaire “linuxserver/ubooquity”. cliquez ensuite sur le bouton “Téléchargez”. Il vous est proposé de télécharger la “lastest” version, confirmez.

Positionnez-vous dans la partie “Image”, sélectionnez “linuxserver/ubooquity” et cliquez sur “Lancer”:

3. Paramétrage du conteneur

Vous arrivez alors au paramétrage du conteneur, vous pouvez vous inspirer de ce que j’ai mis (Attention , j’ai 8 Go de RAM sur le serveur donc j’ai forcé un peu la dose car on va le voir, Ubooquity peut être assez gourmand en RAM quand il indexe ses fichiers). Si vous n’avez que 2Go, ne dépassez pas 1536Mo (ou un truc comme ça).

3.1 Paramétrages avancés

Cliquez ensuite sur “Paramètres avancés” et inspirez-vous …

3.2 Volumes

L’onglet “Volumes” est sûrement le plus “touchy” à saisir…

Quelques explications … Tout d’abord, le seul bouton que j’utilise est “Ajouter un dossier”. En effet, je veux indexer le contenu de dossiers/sous-dossiers dans lesquels j’ai mis mes fichiers (ePub, mobiles, pdf et quelques cbr/cbz). Attention aux majuscules/minuscules dans les noms …

A quoi sert ce paramétrage ? En fait, pour accéder à vos répertoires, le conteneur possède des points d’entrée. Ces points d’entrée sont dans la colonne “Chemin d’accès”. C’est à dire que le conteneur ne va connaître vos répertoires du Synology que par les noms que vous avez définis dans cette colonne. un seul point d’entrée et obligatoire et non modifiable : “/config”. tout le reste, vous pouvez mettre les noms de votre choix. En face de chaque “Chemin d’accès”, vous avez le vrai répertoire dans le quel le conteneur va lire. On a donc par ce paramétrage mappé les points d’entrée du conteneur avec les vrais dossiers su Synology. Pour ma part, en voici la description (on peut créer autant de points d’entrée que l’on veut):

  • /LivresPDF : Contient tous les livres (hors BD) en PDF, répartis dans plusieurs sous répertoires. Le dossier Livres est à la racine de mon volume principal sur le Synology
  • /books : Contient tous les ePub/mobi de la bibliothèque Calibre. celle ci est sur mon Mac et je la recopie tous les jours dans un répertoire du Synology
  • /config : C’est l’endroit où Ubooquity va stocker ses infos, paramétrage, base de données, etc. C’est à vous de créer ce répertoire avant de démarrer le conteneur pour la première fois (indiqué au début de ce poste)
  • /Magazines : Tous les magazines en PDF (Le répertoire Magazines est à la racine du volume)
  • /BD : Toutes les BD (à la racine aussi …)

Pour vous donner une idée de l’arborescence sur le Synology:

Vous pouvez créer autant de points d’entrée que vous le souhaitez. C’est en effet lors de la configuration de Ubooquity une fois le conteneur lancé que nous définirons ces points d’entrée. Le seul obligatoire est “/config”.

3.3 Paramètrage des ports de communication

Comme pour les répertoires, il faut mapper les ports “virtuels” du conteneur avec les vrais ports de communication du Synology. Dans cet exemple, les ports par défaut du conteneur sont 2202 et 2203. J’ai fait correspondre ces deux ports au 2204 et 2203 car le port 2202 du Synology était déjà occupé.

3.4 Les derniers onglets …

Dans l’onglet “Liens”, je n’ai rien mis. Pour le dernier onglet, “Environnement’, si vous envisagez d’indexer des pdf de plus de 300Mo (c’est mon cas), je vous conseille de rajouter la variable MAXMEM que vous fixerez selon votre quantité de RAM et la quantité que vous avez indiquée dans le paramétrage du conteneur. La variable MAXMEM est passée en paramètre à Ubooquity lors du démarrage. Pour ma part, MAXMEM=4096. (Mo)

4. Lancement du conteneur

Un petit résumé de votre conteneur s’affiche à la fin de l’assistant, cochez la case “Exécutez ce conteneur lorsque l’assistant a terminé” puis validez le tout … Vous devriez avoir un écran similaire au mien:

5. Paramètrage de Ubooquity

Nous pouvons passer maintenant à la partie paramètrage de Ubooquity (pour l’instant, nous n’avons que paramétré le conteneur Docker pour son exécution).

5.1 Adresse IP du Synology

Allez sur votre navigateur web préféré, situé sur le même réseau local que votre Synology. vous devez connaître l’adresse IP de votre NAS. Si vous ne la connaissez pas, allez sur la console et lancez le panneau de configuration, vous la trouverez dans “Centre d’infos’. Il est conseillé pour la suite d’avoir attribué une adresse fixe au serveur Synology, c’est bien plus simple …(Remarque, on peut aussi accéder au serveur via son nom, ici : SynoArnaud.)

5.2 Administration de Ubooquity

Retour donc dans votre navigateur, nous allons nous connecter à l’écran d’administration de Ubooquity. Le port d’admin de Ubooquity pour ce conteneur est 2203, port que nous avons mappé sur le Synology en 2203 (pas de changement). L’adresse IP de mon Synology étant 192.168.0.31, je tape la ligne suivante dans la barre d’URL du navigateur:

Pour le premier lancement, il vous sera demandé de définir un mot de passe administrateur, vous pourrez ensuite vous connecter en saisissant ce mot de passe pour arriver à l’interface de configuration:

Je ne vais pas définir ici toutes les options disponibles dans Ubooquity. Je vais détailler uniquement le paramétrage des points d’entrée (définis lors de la création du conteneur Docker) ainsi que la création d’un utilisateur.

5.2.1 Les bandes dessinées

Nous nous rendons d’abord dans l’onglet “Comics” afin de paramétrer l’entrée (ou les entrées) des bandes dessinées:

On peut voir que j’ai créé un point d’entrée /BD correspondant au /BD de la colonne “Chemin d’accès” qui va pointer sur le répertoire /BD. Ceci est un peu perturbant car tout a le même nom… Un peu plus loin, pour les livres, c’est différent, vous comprendrez peut-être mieux. C’est en cliquant sur le bouton “ADD FOLDER” que Ubooquity vous proposera la liste des points d’entrée connus par lui-même et que vous avez définis lors du paramétrage du conteneur. Lorsque vous aurez créé des utilisateurs, vous pourrez les ajouter à l’aire de la petite icône à droite de la ligne afin qu’ils puissent accéder à la ressource.

5.2.2 Livres autres que les BD

On voit les 3 points d’entrée qui ont été définis précédemment lors de la création du conteneur. Si vous décidez d’ajoutez un nouveau répertoire à scanner par Ubooquity, vous avez deux solutions:

  • C’est un sous-répertoire de ce qui existe dèjà et qui est défini dans Ubooquity: Vous n’avez rien à faire, Ubooquity va le scanner au prochain scan.
  • C’est un nouveau répertoire hors de tout ce qui existe dans Ubooquity: Vous devez arrêter le conteneur, modifier le paramétrage et rajouter un dossier dans l’onglet Volumes du conteneur, relancer le conteneur (vous ne perdrez rien, pas d’inquiétude). vous devez ensuite rajouter le point d’entrée dans le paramètrage (comics ou books) et relancer un scan …

5.2.3 Création d’un utilisateur

Pour la création d’un utilisateur, cela se déroule dans la partie “Security”:

Faire “ADD USER”, donner un nom et un mot de passe pour le nouvel utilisateur et cliquer sur “CREATE USER”. rien de plus simple.

5.3 Le premier scan…

Vous pouvez revenir à l’onglet “GENERAL” et cliquer sur “LAUNCH NEW SCAN”.

A signaler: Le premier scan est long (48h dans mon cas pour presque 40000 documents …) car l’intégralité des répertoires est parcourue et indexée. Par la suite, seuls les nouveaux fichiers/répertoires seront indexés (Ubooquity détecte les changements de nom, de date et de taille).

L’utilisation de Ubooquity.

Jusque là, nous n’avons pas encore utilisé le logiciel, nous l’avons installé, paramètres et peuplé. Pour accéder à l’interface utilisateur, il faut se connecter sur l’autre port de communication défini en 3.3. Le port d’utilisation à utiliser est le 2204 (mappé sur le 2202 du conteneur). Il faut avoir de préférence défini des utilisateurs avant d’accéder à l’interface de consultation.

Comme pour l’interface d’administration, rendez-vous dans votre navigateur. dans mon cas, il me suffit de taper l’adresse du Synology suivie du port 2204/ubooquity pour accéder au logiciel:

Il suffit d’entrer le nom et mot de passe d’un utilisateur créé en 5.2.3 pour accéder au paradis … Tous vos documents apparaissent dans les différentes sections correspondant aux répertoires de votre Synology.

6. Accès au serveur depuis l’extérieur de votre réseau local (c’est à dire depuis le monde entier).

Ce qui suit permettra décrit le paramètrage à mettre en oeuvre afin d’accéder à Ubooquity en dehors de chez vous et de permettre ainsi à vos amis de bénéficier des services de votre serveur Ubooquity. Je suis pour ma part chez Free, l’exemple ci-dessous concernera donc un paramétrage sur la box de Free.

6.1 Un Synology en IP fixe (statique) sur votre réseau local.

Il est important que votre serveur Synology ait tout le temps la même adresse IP sur votre réseau local. je vous invite pour cela à lire cet article.

6.2 Redirection des ports sur la Box de Free.

Nous avons besoin d’accéder aux ports 2203 et 2204 du Synology (définis au point 3.3). Il faut accéder à l’interface de paramétrage de la Freebox à l’adresse : http://mafreebox.freebox.fr

En bas à gauche, le bouton rouge vous permet de vous connecter en mode admin et à sortir du mode “Invité”. On arrive à l’écran suivant:

Cliquer sur “Paramètres de la Freebox:

Sélectionner l’onglet “Mode avancé”. puis l’icône “gestion des ports”:

Une liste s’ouvre (plus ou moins remplie, peut être même vide …). Cliquer sur “Ajouter une redirection”, le formulaire de saisie d’une redirection apparait:

Il nous faut rediriger les deux ports donc nous ajouterons 2 redirections (donc deux fois ce formulaire). pour la première redirection, saisissez les informations suivantes:

  • IP Destination: Choisissez votre NAS dans la liste déroulante (ici: SynoArnaud)
  • IP Source: En général, pas de choix possible, c’est “Toutes”
  • Protocole: Laisser TCP
  • Port de début: 32xxx (c’est à vous de choisir une valeur de port pour se connecter de l’extérieur. il est possible que 32xxx soit indisponible car déjà utilisée, dans ce cas en choisir une autre, proche). Je ne vous mets pas ma vraie valeur par sécurité. une valeur correcte serait 32745 par exemple
  • Port de fin: Même valeur que port de début
  • Port de destination: 2203

Vous devez avoir 2 redirections dans votre liste à la fin du paramétrage. L’accès à l’interface admin de Ubooquity se fait par le port 32xxx et l’accès pour consultation par le port 32yyy.

6.3 Accès depuis l’internet au serveur

Si vous ne l’avez jamais fait, il est nécessaire de paramétrer le Synology afin qu’il s’ouvre un peu à l’internet. Ce paramétrage est très bien documenté sur le site de Synology.

Vous avez donc une adresse internet pour votre serveur Synology. cette adresse est du style : http://xxxxxxxxxxx.myds.me:32xxx

L’autre solution serait de passer par votre adresse IP fixe (à demander à votre opérateur internet s’il en propose. c’est mon cas chez Free où je possède une IP fixe avec ports non partagés).

Pour accéder de l’extérieur à votre serveur Ubooquity:

  • en mode admin: http://xxxxxxxxxxx.myds.me:32xxx/ubooquity/admin
  • en mode consultation : http://xxxxxxxxxxx.myds.me:32yyy/ubooquity