La maison connectée et quelques trucs à éviter !

Il faudrait être geek aveugle pour ne pas remarquer l’incursion des devices connectés pour la maison dans notre univers techno.

Les 3 grands (Apple, Amazon et Google) se battent pour mettre en avant leurs assistants et leurs protocoles.

J’avais acheté il y a plusieurs années un Google Home Mini. Tout seul, le truc ne servait pas à grand chose, je ne m’en suis jamais vraiment servi (je viens de le revendre pour 15€).

Depuis plusieurs mois maintenant (disons 12 mois à peu près), j’ai un mixte de Alexa et Homekit (le système Apple) à la maison:

Je commande à la voix les éclairages et différents bidules et c’est Alexa qui s’exécute. Par contre tous les automatismes (allumage sur détection de mouvement ou seuils lumineux) se font avec Homekit. Ce système me donne assez satisfaction, conjuguant le meilleur des deux mondes ou presque…

Presque car il subsiste quand même des inconvénients ! 

En effet, j’ai parfois des problèmes de remontées d’état dans Homekit: Quand on allume avec Alexa, Homekit ne voit pas toujours que c’est allumé (ce problème est rare et pas bien gênant mais il froisse mon côté perfectionniste).

Ce qui me gêne également est de fournir de la data à Amazon sur mes faits et gestes. En effet, ce point là ne me perturbait pas trop jusqu’à l’écoute du Podcast « Tech Café Domotique » où cet aspect des choses a été abordé. Il suffit effectivement de faire un test simple. la maison connectée avec internet coupé ne fonctionne plus avec Amazon Alexa. Elle continue de fonctionner avec Homekit (mais sans Siri, l’assistant vocal). Bref, j’ai plus confiance en Apple qu’en les deux autres sur la protection de mes données).

Pour toutes ces petites choses, j’ai décidé de basculer toute ma modeste maison connectée sous Homekit, le système d’Apple. Cela tombe bien, Apple vient de sortir des adorables petites boules appelées Homepod Mini à peu près abordables et qui vont me permettre de commander à la voix la plupart des « déclencheurs ». Homekit pouvant être aussi commandé à partir d’un Mac, d’un Iphone, d’un Ipad ou même d’uneApple Watch, je suis sûr d’avoir toujours tout sous la main.

Pour savoir de quoi on parle, j’ai le matériel connecté suivant:

  • 16 lampes
  • 8 prises électriques
  • 3 caméras
  • 15 capteurs (mouvement, lumière, température)
  • 2 boutons poussoirs
  • 2 interrupteurs
  • 1 Apple TV 4K et 3 Homepod mini (et aussi 2 Alexa).

J’ai donc un peu d’expérience sur le sujet et je vais vous balancer ici quelques conseils qui peuvent vous éviter de partir sur de mauvaises pistes (pistes que j’ai bien sur essayées !)

  • Acheter en priorité des accessoires Homekit. C’est généralement un peu plus cher et on ne trouve pas forcément tous les accessoires voulus.
  • Sélectionner des éléments qui n’ont pas besoin de Hub du fabricant pour fonctionner (idéalement, le matériel avec le QR Code Homekit directement sur le device, c’est parfait)
  • Utiliser uniquement Homebridge pour les éléments exotiques (Balance Withings connectée, plugin météo). Homebridge peut s’installer directement en package sur un NAS Synology ou alors en conteneur Docker (ou même sur un Raspberry). J’ai essayé les 3 et j’ai finalement choisi le package Synology. Homekit marche vraiment bien mais rajoute une couche dont il convient de réduire l’épaisseur au minimum (temps de réponse, plugin à mettre à jour)
  • Il n’y a pas de problème pour allumer automatiquement des lumières, c’est pour les éteindre que cela se complique. En effet, trouver le bon déclencheur ou la bonne non-détection de mouvement en fonction de certains critères est parfois compliqué. Cela peut engendrer des effets de bord surprenant dus au temps de réaction de certains capteurs (notamment détection de lumière). Il faut prendre en compte également qu’un détecteur de mouvement n’est pas un détecteur de présence …
  • Ne pas hésiter à utiliser les capteurs de mouvement intégrés des caméras. Ainsi j’ai un scénario de bienvenue qui s’exécute lorsque j’arrive chez moi et qu’il fait nuit: Ce scénario se déclenche à l’ouverture de la porte d’entrée et allume les lumières de l’entrée. Je ne veux pas que ce scénario s’exécute lorsque je sors de chez moi (et que j’ouvre la porte pour sortir). je teste donc que la caméra de l’entrée ne détecte pas de mouvement au moment où la porte s’ouvre.
  • Procéder par itération: Homekit permet une programmation assez poussée et vraiment très séduisante avec Shortcuts laissant libre court à tous les scénarios ou presque. Pour ma part, j’ai par exemple certaines lumières qui s’allument avec une couleur qui dépend de la météo prévue. Ne pas développer tout de suite le scénario de 50 lignes mais l’augmenter au fur et à mesure que vous le stabilisez. Encore une fois, c’est souvent l’extinction qui est la plus ardue.
  • User et abuser du plugin Homebridge « Dummy Switch ». Ce truc va vous sauver la vie ! En effet, il permet de « fixer » un état persistant dans la configuration Homekit. Vous pouvez par exemple tester la valeur de ce switch virtuel avant de faire une action.
  • Ne pas conjuguer plusieurs protocoles. En effet, beaucoup de devices connectés sont compatibles avec les 3 ténors cités en introduction. Même si la cohabitation marche plutôt bien, choisir un système unique. Pour ma part, je vais réserver mes périphériques Alexa pour les questions d’ordre général (en quelle année a eu lieu la bataille de Marignan ?) et Homekit (Siri) pour les actions sur la maison.
  • Le graal étant la maison “automatique”, privilégier les automatismes plutôt que les actions à la voix ou à la watch 🙂
  • Se tenir à une même nomenclature pour tous les objets. Par exemple, appeler toutes les lumières des plafonds avec “Plafond” dans le nom (et pas “Plafond”, “Luminaire” ou “Lustre” suivant la pièce). Ainsi harmonisés, il est plus facile de commander à la voix.
  • Avec Homekit, ne pas agir directement sur des objets dans les automatisations mais plutôt sur des scènes. cela permet de conserver les automatisations intactes quand les objets sont modifiés. Ainsi, au lieu d’allumer simplement une lampe, créer une scène qui va allumer la lampe et une automatisation qui va appeler la scène.

Ombi : Industrialiser la vidéo à la demande sur PLEX

J’ai découvert il y a peu Ombi, logiciel gratuit (donation) qui fonctionne avec Plex. Ombi permet de constituer une base de souhaits pour votre contenu Plex. Ainsi, si comme moi vous partagez votre Plex avec des amis ou de la famille, si un contenu n’est pas disponible sur votre Plex, il est possible de le demander par l’intermédiaire d’Ombi.

Présentation

Chez moi, Ombi tourne sur le Synology dans un conteneur Docker. L’image Docker porte le nom de linuxserver-ombi. Pour installer une image dans Docker sur Synology, je vous invite à consulter cet article. Ombi va se connecter à votre serveur Plex et offrir une belle interface à vos utilisateurs.

Interface de recherche de Ombi

Cette interface permet à l’utilisateur de rechercher un contenu, film ou série. Vous devez lui avoir créé un compte et avoir ouvert le bon port de communication sur votre box/routeur. Il est cependant possible de se connecter avec son compte Plex (si Plex OAuth est activé). Cette recherche va s’effectuer de manière transparente sur le site The movie database (base de données de films et séries). Par défaut, l’interface propose des films et séries populaires sur Ombi (les titres les plus recherchés).

On peut voir sur la copie d’écran précédente que Ad Astra est proposé. Sa date de sortie en numérique est indiquée (important !). On voit aussi la balise “Non demandé” qui indique que le fichier n’a pas été demandé par le biais d’Ombi sur ce serveur Plex. Il est possible pour l’utilisateur de “Demander” le fichier à l’administrateur du Plex.

Dans le cas où un fichier est déjà présent, Ombi l’indique de cette manière:

Ombi est déjà présent sur le serveur et ne peut être demandé ! (statut Disponible)

A signaler qu’Ombi ne va s’assurer de la présence ou non du contenu que sur le serveur Plex sur lequel il est connecté. Ainsi, si vous avez accès à d’autres serveurs amis à partir de votre Plex, Ombi ne trouvera pas ces contenus….

La demande de contenu par un utilisateur

Lorsqu’un utilisateur clique sur le bouton “Demander” d’un contenu qu’il a recherché sur Ombi, le statut du contenu passe à “Demandé”. Ainsi, un autre utilisateur sait qu’une demande de mise en ligne de ce contenu est en cours et qu’il n’est plus utile de le demander s’il comptait le faire..

Ombi – Contenu demandé

Un mail est envoyé automatiquement à l’administrateur du serveur Plex pour lui indiquer les références du film (ou de la série) demandée (et qui la demande). L’administrateur peut valider ou non la demande (en général, il la valide …). Il ne lui reste plus qu’à se mettre en chasse du fichier numérique correspondant. Une fois celui-ci mis en ligne sur le serveur Plex, Ombi le détecte tout seul et le statut de la demande est modifié.

Ombi, le contenu est disponible !

L’utilisateur demandeur est prévenu par mail que sa demande est exaucée et que le contenu peut maintenant être visionné sur le serveur Plex.

Petite cerise sur le gateau: Vous pouvez définir une petite newsletter (facultatif) qui indique aux utilisateurs de votre choix les différentes nouveautés de la semaine disponibles sur votre serveur Plex. Ceux-ci recevront un petit mail bien léché listant le nouveau contenu dans la limite de leurs accès sur les bibliothèques de votre serveur !

Il est possible d’interfacer Ombi avec Sonarr (pour le téléchargement automatique des séries) et avec CouchPotato (pour les films). Ainsi, les “administrateurs” paresseux n’ont même plus besoin de lever le petit doigt pour alimenter leur Plex !

Conclusion

Un petit soft pas gourmand très pratique. Plutôt que de recevoir un mail de vos utilisateurs (amis, famille) avec parfois des titres inexacts ou bien des films avec plusieurs remake et le même titre. Là, plus d’ambiguïté ! Vous avez le titre et l’année, tout ce qui va bien. Le système d’avertissement par mail est très bien fait et paramètrable. J’ai donné des accès à tous mes utilisateurs. Plex devrait s’inspirer de ce petit soft pour intégrer une fonctionnalité identique.

Découverte de CloudAhoy

J’ai découvert il y a quelques temps la plateforme CloudAhoy permettant l’analyse fine des traces GPS d’un vol (avion ou ULM). Je dis “plateforme” car CloudAhoy est décliné en mode web et en mode application pour iOS (iPhone et iPad … Mais sur un iPhone, l’exploitation me parait difficile). Je débute avec ce logiciel, aussi je ne vous donnerai qu’un très vague aperçu dans ce qui suit.

Qu’est-ce que ça fait ?

CloudAhoy est un outil graphique d’analyse d’un vol (VFR ou IFR…Dans cet article, nous ne parlerons que du VFR … et encore, je n’ai pratiqué que quelques vols en local depuis la découverte de CloudAhoy). L’application iOS vous permet d’enregistrer votre vol puis de l’analyser au retour. Les enregistrements des vols sont centralisés sur leur cloud, c’est à dire que vous pouvez poursuivre votre analyse sur le web (avec un grand écran) ou bien sur le terminal iOS. CloudAhoy ne vous oblige pas enregistrer votre vol avec l’application dédiée, vous pouvez aussi importer une trace GPS provenant d’un autre appareil (pour ma part, je possède le Skypro GPS XGPS160 qui fonctionne très bien en bluetooth avec iOS et qui en plus enregistre la trace GPS en autonome).

Les différents modes d’abonnement

Et oui, vous vous doutez bien que les types qui ont fait ce superbe outil ne travaillent pas pour rien … Mais rassurez-vous, il y a un mode gratuit.

Le mode gratuit vous offre une trace en 2D sur une carte satellite, il n’apporte pas tellement plus que l’import d’une trace dans Google Earth selon moi.

Le mode Pro, pour 65$ par an, est selon-moi le plus intéressant si vous n’êtes pas masochiste: Il vous permet l’analyse de votre vol, son découpage en segments, la vue 3D, la vue cockpit. c’est le mode que je vais décrire par la suite.

Le mode CFI qui vous permet d’analyser tout ce que fait le mode Pro mais en plus, vous pouvez donner des enveloppes de vol pour certaines phases et ainsi avoir un score pour tout le vol ou bien pour une phase précise. Un peu trop fort comme manière de s’auto-punir je trouve. Ainsi, si vous décidez que la finale doit être pendant toute sa durée entre 108 et 112 km/h (désolé, je ne fais plus que de l’ULM pour raison de santé, je raisonne maintenant en km/h…), si vous êtes en dehors de l’enveloppe à 113, vous aurez des mauvais points (Comme on parle de trace GPS, il ne s’agit ici que de vitesses sol …)

L’écran d’analyse

L’écran de la version web est assez sympa (pour la tablette, cela se présente à peu près pareil).

Un écran typique de CloudAhoy

La disposition (layout) des différents fenêtres est très modulable et nul doute que vous arriverez à la disposition de vos rêves. Que voit-on sur cet écran ?

La ligne du haut vous permet de sélectionner un vol, d’accéder à votre compte et d’accéder à l’écran affiché (mode “Debrief”).

la ligne du bas est une timeline de votre vol. il est possible de posiotnner le curseur à n’importe quel endroit ou bien de dérouler le vol en mode replay (avec possibilité de l’accélérer).

La partie gauche vous permet de visualiser quelques infos sur le vol, sa durée, ses différentes phases analysées par le logiciel (ainsi si vous avez fait 15 tours de piste, vous pouvez les sélectionner individuellement et la faire apparaître tout seul sur la trace 3D.

La trace 3D occupe la plus grosse portion de cet écran. on voit le découpe des phases du vol avec en bleu foncé, la montée initiale, en bleu clair, le vol lui-même, en vert, les phases de descente et la finale en blanc. On peut changer cette fenêtre par une trace de 2D (qui correspond alors à la petite fenêtre en bas à droite). On peut zoomer dans ces fenêtres et on peut également tourner l’affichage dans tous les sens pour voir la trace sous d’autres coutures. Il est possible de remplacer la vue 3D par une autre vue, par exemple la vue cockpit 3D:

CloudAhoy : La vue cockpit 3D

On voit ici la fin de la finale 05 à LFOY. Ce qui est assez fort c’est que le logiciel arrive à déterminer La TAS (True Air Speed) alors que ‘il n’a qu’une vitesse sol … Il doit chopper des indications météo de vent moyen ou quelque chose du genre. Une chose est sûre, dans ce cas, la vitesse de 115/116 km/h était assez juste car i y avait environ 20/25 km/h de vent dans l’axe.

La partie droite supérieure représente les deux paramètres altitude et vitesse sol. On peut rajouter des paramètres moteur (tours/mn, températures, etc) si votre avion est équipé pour enregistrer ces données. Il est possible de zoomer sur différentes phases du vol. Ainsi, si je zoome sur le segment de la finale, j’ai cette représentation de mon plan de descente (en vert) par rapport au plan de descente idéal en pointillés:

CloudAhoy ; Zoom sur la finale

La partie droite inférieure représente la trace 2D du vol (un bien joli vol au départ de LFOY passant par Antifer, Etretat et remontant presque jusqu’à Fécamp puis retour à LFOY). La vidéo est ici:

Ce que je n’ai pas testé: Bien sûr la partie IFR, la partie permettant d’importer une prévision de navigation et de voir comment “vous avez collé” aux prévisions. La possibilité d’importer des vidéos et de les caler avec la timeline du vol (je pense qu’il doit être aussi possible d’importer les communications/intercom enregistrées si vous les avez…).

Ma conclusion (pour le moment):

Je profite actuellement d’une période d’essai de 30 jours de la version Pro, je n’ai donc pas encore souscrit à l’abonnement annuel. Après quelques années à piloter sans trop me soucier de la qualité de mon pilotage (mais toujours dans la sécurité !), je trouve avec cette application un intérêt certain pour s’auto-contrôler après le vol et se faire un petit débriefing perso. La tenue en palier, la tenue du cap, du plan de descente, toutes ces infos sont assez utiles pour savoir si votre vol était propre et savoir ce qu’il faut travailler pour le prochain vol. De plus, par ces temps de confinement, cela permet de revivre certains vols, ce qui n’est pas du plus désagréable …

iGraal, le système de cashback qui fonctionne !

J’ai découvert iGraal à la fin de l’année 2018 et pour le moment, je dois dire que ce site de cashback tient ses promesses !

Au début, j’étais assez dubitatif sur le fonctionnement et le business model de ce style de site: Je ne voyais pas comment, en achetant des trucs sur le web, il pouvait me revenir de l’argent…

En fait, le fonctionnement est simple et fonctionne un peu comme les liens d’affiliation Amazon, sauf qu’en fait, le lien est « auto-généré » pour vous juste avant votre achat, et ce, sans que vous vous en aperceviez.

Pour simplifier, vous avez sûrement déjà vu des liens d’affiliation Amazon ou autres. Souvent, lorsqu’un Youtuber teste un produit, il « met un lien dans la description ». Ce lien vous envoie sur Amazon où vous pouvez acheter le produit présenté. Il faut savoir que si vous achetez le produit par ce biais, vous ne paierez pas le produit plus cher et le Youtuber se verra rétribué d’un faible pourcentage de la vente en tant qu’apporteur d’affaire.

Pour iGraal, c’est le même principe appliqué à vous-même et pour un nombre important de site marchands. Ainsi, ce matin, sur Cdiscount, j’ai acheté des airpods 2 en promotion à 170€. J’ai réalisé mon achat à travers iGraal. iGraal est un site (mais aussi un application iOS et Android) qui détecte que vous réalisez un achat sur une plateforme offrant une rétribution pour les apporteurs d’affaire et qui va faire en sorte que vous soyez votre propre apporteur d’affaire. Ainsi, cet achat de 170 € m’a rapporté 1,42 € de cashback.

Lorsque j’ai cumulé au moins 20 € de cashback, je peux demander un virement bancaire vers mon compte courant à IGraal, l’argent arrive dans les 10 jours. Pour le moment, j’ai cumulé un peu plus de 80€ en 7 mois.

Alors comment iGraal gagne de l’argent dans tout ça ? C’est simple, en fait Cdiscount a donné un peu plus que 1,42€ à l’apporteur d’affaire … iGraal a empoché la différence. C’est gagnant – gagnant …

Il faut noter que les achats via iGraal sont effectués en toute transparence : Vous vous trouvez vraiment sur le site marchand pour réaliser vos achats, comme d’habitude… La seule différence est que vous avez la mention « cashback activé » en vert en bas à droite de votre écran. Pour ma part, je préfère utiliser l’application iOS que le portail Web, question de goût.

Il y a même des plugins pour navigateur qui détectent automatiquement que le site sur lequel vous achetez permet le cashback. Il vous est proposé alors de l’activer. Pour ma part, j’ai trouvé que le plugin pour Safari impactait un peu les performances en navigation, je l’ai retiré. Je dois juste penser à passer par le portail ou l’application iGraal avant de réaliser un achat sur le web.

Pensez-y vous aussi, cela ne coûte rien et vous rapporte un peu. Si vous désirez essayer, c’est ici qu’il faut cliquer ! (lien de parrainage qui nous rapporte à tous les deux, vous et moi,  un peu d’argent !).

Ma carte N26 à l’étranger.

Cela fait plus d’un an et demi que j’utilise ma carte N26 Black et j’en suis très très satisfait.

En effet, pour qui voyage un peu en dehors de la zone euro, cette carte est très pratique puisque les commissions de change sont inexistantes et que les taux de change sont proches du taux interbancaire.

J’ai utilisé cette carte dans les pays suivants sans aucun problème ni aucun coût caché: Canada, USA, Maroc, Australie, Ecosse…

N26 propose plusieurs types de cartes. La Black (le nom est train d’évoluer en Carte Premium je crois) me coûte 5,90€ par mois. Je bénéficie de ce tarif très attractif car je suis un « vieux » client. Ce tarif a un peu augmenté pour les nouveaux clients. C’est une Mastercard.

Une autre carte entièrement gratuite celle-là est aussi disponible, la seule différence c’est qu’elle n’autorise pas les retraits « gratuits » dans les distributeurs à l’étranger (la Black en autorise 5 par mois). La Black propose aussi des assurances supplémentaires par rapport à la version gratuite.

Les cartes sont entièrement « gérables » par l’application N26 (iOS et Android) : plafond, code pin , suspension, retraits, paiements, etc…

Le compte N26 s ‘ouvre en ligne, à l’aide de l’application N26 sur mobile: Une photo de votre passeport (ou carte d’identité), une photo de vous et en moins de 3 jours vous recevez votre Mastercard N26 par la poste.

Le transfert d’argent d’un compte N26 vers un autre est immédiat (ce qui est pratique quand il faut venir en aide à un de ces enfants qui est un peu court en fin de mois). Il est possible également de modifier le code pin de la carte à tout moment (j’ai ainsi prêté ma carte pour un retrait dans un distributeur alors que je ne pouvais me déplacer, j’ai modifié le code pin une fois la personne revenue avec la carte).

Il n’ya pas de minimum à avoir sur le compte N26 ni même de minimum de paiement à faire par mois: Vous pouvez laisser votre carte dormir plusieurs mois en attendant votre prochain déplacement, elle ne vous coûtera pas plus cher (c’est à dire rien si vous optez pour la carte gratuite !)

Pour chaque paiement, vous êtes prévenu dans la seconde par un sms (ou un message sur l’Apple Watch) avec le montant du paiement effectué éventuellement converti en euro (pratique, vous payez en dirhams et aussitôt le montant en euros de votre paiement est affiché sur votre téléphone).

Un seul petit bémol mais celui-ci ne dépend pas de la banque N26: Le transfert d’argent de mon compte principal situé dans une grande banque française vers mon compte N26 prend 3 à 4 jours. Pour d’autres banques, cela s’effectue souvent plus vite (un ami qui est au Crédit Agricole voit son argent arriver sur son compte N26 dans les 24h).

Bref, si l’envie vous prend d’aller ouvrir un compte (pour obtenir une carte gratuite ou non) en moins de 8 minutes, utilisez donc ce lien de parrainage:  https://n26.com/r/arnaudl5598

Un riad au Maroc : Les plus et les moins …

Après avoir passé une semaine en Riad à Marrakech il y a quelques temps, je résume ici les avantages et inconvénients de ce style d’hébergement.

Les avantages:

  • Vous pouvez choisir un riad en plein coeur de la Médina et ainsi tout faire à pied. Un hôtel est beaucoup plus difficile à trouver dans la Médina.
  • Un riad ne comporte pas trop de chambres (il y en avait 5 dans mon cas). le service est plus “personnalisé”.
  • C’est mignon comme tout, totalement différent des grands hôtels (généralement situés sur Guéliz, hors de la Médina).
  • Il y a une grande variété de tarifs et chacun doit pouvoir trouver dans ses prix.

Les inconvénients:

  • Manque d’intimité: Chaque chambre possède sa salle de bain mais tout le monde entend ce que vous y faites. De même, impossible de dissimuler que parfois vous ronflez… ce manque d’intimité est encore plus flagrant au rez-de-chaussée car l’entrée des chambres y donne sur la salle principale et en journée, la porte de votre chambre n’est constituée que d’un mince rideau, la lourde porte traditionnelle n’étant fermée que la nuit.
  • Bruyant: Dans la Médina, tout est mitoyen. Si la maison voisine a décidé d’effectuer des travaux dès 7h30, vous serez réveillés à cette heure là.
  • Du fait de la conception du bâtiment, il y a un manque d’aération dans les salles de bain (qui en plus possèdent parfois des problèmes de plomberie, vous distribuant chichement l’eau chaude mais distribuant parfois généreusement des relents d’égouts. Pas de fenêtre dans les chambres.
  • Le restaurant (facultatif) ne propose pas de vin (sauf exception) car la licence pour l’alcool est trop chère par rapport au peu de repas servis.

Ma conclusion: Préférez des chambres situées à l’étage et en façade (moins bruyant et pas de mitoyenneté) si vous devez partager votre riad avec d’autres personnes. On trouve maintenant couramment sur AirBnB des riad à 150€ la nuit que l’on peut réserver pour un seul couple … le plus sûr moyen d’être tranquille et de pouvoir choisir sa chambre. Je pars à Fès bientôt, je mettrai à jour cet article si les conditions sont différentes.

Ubooquity, Plex mais pour les livres et BD !

J’ai découvert il y a un an et demi cette perle qu’est le logiciel Ubooquity ! Je l’utilise sur mon Synology mais Ubooquity peut être utilisé sur n’importe quoi: un PC, un Mac, un RaspBerry. Il existe même des containers Docker tout faits et qui fonctionnent très bien ! Mais d’abord, Ubooquity, c’est quoi ?

Imaginez un Plex pour les livres et PDF et vous aurez une petite idée de ce que peut être Ubooquity. Ubooquity présente dans une belle interface web l’ensemble de votre bibliothèque, qu’il s’agisse de PDF, CBR,epub,mobi, etc…

Le site officiel de Ubooquity est ici. Le logiciel est gratuit. J’ai indexé avec Ubooquity mes 10716 bandes dessinées (réparties dans des répertoires, un répertoire par collection) et mes 17806 epub, mobi et PDF. La différence entre Plex et Ubooquity, c’est que Ubooquity ne gère pas de métadata et ne va pas retrouver les informations concernant chaque BD, epub ou PDF. Ubooquity se “contente” de les présenter, d’offrir un accès aux utilisateurs que vous créez, d’offrir la consultation et/ou le téléchargement en local ou à distance des documents.

Les écrans

Voici un exemple de page Ubooquity pour les BD. Chaque Couverture représente une collection. En haut à droite de la couverture s’affiche le nombre de BD dans la collection. La partie supérieure de l’écran permet de naviguer entre les pages ou de rechercher dans les titres. Les BD peuvent être au format PDF ou CBZ/CBZ.

Pour les magazines, l’affichage est identique:

Lors de la sélection d’un document, le choix proposé est soit la lecture en ligne (par un lecteur web très bien fait) ou bien le téléchargement:

Le petit picto en bas à droite de la fenêtre mêne à un lecteur web avec pas mal d’options pour la lecture online:

Vous pouvez demander à Ubooquity de scruter votre librairie Calibre si vous en avez une. Ubooquity ne va pas attaquer la base de données Calibre mais va parcourir l’arborescence et intégrer les fichiers de métadonnées créés par calibre de façon à, pourvoir présenter des informations intéressantes avant le download ou la lecture online (pas de lecture online avec les mobi. c’est possible uniquement avec les epub. Il est même possible d’accéder à votre serveur Ubooquity à partir de votre liseuse pour y télécharger directement le fichier epub (kobo) ou mobi (Kindle).

L’administration

L’interface administrateur n’est certes pas la plus sexy du moment. vous pouvez créer autant d’utilisateurs que vous le souhaitez et leur attribuer des droits sur les différentes sections de votre bibliothèque. Si vous laissez tourner la machine sur laquelle vous avez Ubooquity 24h/24h, votre bibliothèque sera accessible pour tous vos amis, quelque soit l’endroit où ils se trouvent dans le monde (à condition d’ouvrir les ports qui vont bien sur votre box) et tout moment.

Ubooquity possède 3 sections qui sont: Comics, Books et Rawfile.

La section Comics permet d’indexer des pdf et des CBR/CBZ. La section Books permet d’indexer des PDF , des epub et mobi et la section rawfile … Je ne sais pas trop ! (je n’ai pas de formats exotiques !)

Conclusion

Voilà pour la présentation de cette petite perle qu’est Ubooquity. Je n’ai pas installé la dernière version disponible car la version installée depuis 18 mois sur mon Synology tourne très bien. L’indexation a lieu chaque jour. Il m’a quand même fallu 8Go de RAM sur le Syno pour faire tourner le container Docker (il y a quelques fuites mémoires lors de l’indexation et celle-ci fond très vite). mais c’était seulement pour la première itération… par la suite l’indexation se fait par différence avec la précédente, en incrémental.

Ubooquity est un magnifique logiciel, trop peu connu, assez facile à mettre en oeuvre et offrant des services incomparables semblables à Plex dans le domaine du document numérique.

SI vous utilisez aussi Ubooquity, n’hésitez pas à déposer un commentaire. Si vous vous posez des questions, n’hésitez pas non plus !

A la demande générale, vous pourrez trouver un tuto pour l’installation et le paramètre de la solution ici

AirBnB: Réductions, litiges. Ce qu’il faut savoir !

J’ai à mon actif plus d’une trentaine de location en AirBnB, de Hokkaïdo à Los Angeles en passant par Vilnius et Tel Aviv. Je décris ici les différentes phases d’une location et je liste les différents problèmes que j’ai pu rencontrer ainsi que la manière de les résoudre.
Je ne choisis pas AirBnB parce que c’est moins cher que l’hôtel: J’ai toujours ciblé des locations au moins aussi chères que le budget hôtel que j’y aurais consacré. Je choisis AirBnb pour l’emplacement du logement, sa surface et sa décoration. 95% des locations que j’ai faites concernaient le logement entier, le reste étant en chambre privée (avec une salle de bain privative). AirBnB convient bien aux locations de quelques jours (pour une seule nuit, laissez presque tomber, le choix des logements est assez restreint).

La réservation

Le site AirBnb est pas mal foutu et assez attrayant. J’utilise l’application en mode web et aussi sur mobile iPhone ou Pad). Sur Apple TV, elle est carrément inutile car vous ne pouvez spécifier les dates qui vous intéressent…

Vous pouvez filtrer par localisation (périmètre de la carte affichée) et ensuite par catégorie (logement entier, etc). Mon premier réflexe est de filtrer par date puis par localisation car je cible en premier l’hypercentre quand il y en a un. La photo d’accroche de l’annonce a ici un rôle primordial car c’est elle qui me donne envie d’en savoir un peu plus sur le logement. Je regarde les commentaires et la note de l’hôte pour en savoir un peu plus sur l’environnement (calme ? restaurants ? voisinage ?). Je sélectionne ainsi quelques logements que j’ajoute dans une wishlist (liste de souhaits) créée à l’occasion de cette recherche. Je donne leur chance aux hôtes qui n’ont pas beaucoup de commentaires (en les contactant si besoin), on peut tomber sur de belles pépites !

Ma wishlist comporte ainsi les derniers finalistes et je n’ai plus qu’à choisir parmi eux. Il est à signaler que je peux m’y prendre 3 mois comme 1 jour avant le départ (j’ai même parfois réservé une location à 15h pour un rentrer à 17h). J’ai remarqué que de nouvelles locations fleurissaient sur le site quasiment tous les jours. C’est pour cela que je ne me force pas à mettre une location dans ma wishlist si je n’ai pas le coup de coeur, je préfère attendre que des occasions se présentent.

Une fois la location trouvée, je prends contact via le site avec l’hôte (généralement en anglais). C’est bien d’avoir une photo dans son profil AirBnB, cela permet à l’hôte de mieux vous jauger (il ne faut pas oublier qu’il va vous laisser un logement qui est peut être sa résidence principale !). Je lui expose mon projet de voyage en deux lignes, lui indique que je suis très bien noté et je lui demande s’il ne peut pas faire un effort sur le prix de la location (en justifiant que vous restez plusieurs jours de suite). Je n’ai, à ce stade encore rien réservé du tout… Il est courant de se voir proposer une réduction de 5% quand vous en demandez une. Cette réduction vous arrivera par un lien personnalisé dans votre boîte mail. C’est à partir de cette nouvelle page inédite que vous pourrez réserver au prix réduit.

Une fois la transaction effectuée, vous êtes débité de la somme mais ce n’est pour cela que l’hôte en est crédité de son côté. L’hôte sera ne sera crédité que si vous ne posez pas de réserve une fois arrivé dans le logement. A ce sujet, il est utile d’avoir enregistré ou fait des copies d’écran de la description du logement, cela vous sera utile en cas de litige (voir plus loin).

L’arrivée dans le logement

Vous pouvez avoir rendez-vous sur les lieux même du logement (si l’adresse est facile à trouver) ou à proximité, dans un lieu facilement identifiable (cas d’un AirBnB dans une médina par exemple). Dans ce dernier cas, l’hôte ou un de ses contacts vous guidera jusqu’au logement. Des horaires d’arrivée sont généralement indiqués dans le “règlement” du logement. Le plus souvent, vous pouvez négocier l’horaire d’arrivée avec votre hôte via la messagerie interne d’AirBnB, celui-ci se montrera souvent arrangeant. Il est utile d’avoir un numéro de téléphone pour joindre l’hôte (ou un contact WhatsApp) au cas où vous auriez du retard (un avion en retard, ça arrive souvent !).

Il est possible aussi que personne ne vous accueille et que les clés du logement se trouvent sur place, dans un boîte à clés, une boîte aux lettres codée ou bien tout simplement une serrure numérique. L’hôte vous aura communiqué les codes pour ouvrir la boite ou pour ouvrir la porte.

Si vous êtes accompagné, on vous fera découvrir les lieux et le fonctionnement du logement (clim, chauffage, tri des déchets, emplacement des poubelles, code wifi, etc). Dans le cas contraire, ce sera à vous de le découvrir seul ou presque: En effet, la plupart du temps, l’hôte aura laissé un petit mode d’emploi du logement, un aperçu des meilleurs restaurants, bars et marchés du coin (selon lui) ainsi que ses coordonnées pour le joindre en cas de problème.

D’une manière générale, l’arrivée dans un logement est assez agréable après un voyage: le lit est fait, l’hôte laisse le plus souvent quelques bières au réfrigérateur pour votre consommation ou bien une bouteille de vin local.

Vous pouvez utiliser toutes les convéniences du lieu. Ainsi; s’il y a un lave-vaisselle ou une machine à laver, vous pouvez vous servir des produits de nettoyage. Les condiments (sel, sucre) peuvent également être consommés. L’hôte peut aussi avoir laissé des capsules Nespresso s’il y a une machine… C’est pour vous ! L’hôte fourni également tout ce qui est serviettes de toilette, torchons, etc.

Le voisinage

Il convient de respecter le voisinage en faisant comme si vous viviez dans ce logement toute l’année: Pas de bruit superflu (les touristes ont souvent tendance à rentrer tard dans leur logement alors qu’autour tout le monde dort car travaille le lendemain), dire bonjour aux voisins rencontrés (dans leur langue, c’est mieux).

Les problèmes et litiges

J’ai parfois rencontré quelques problèmes sur place mais cela s’est toujours résolu (même si parfois la mauvaise fois de l’hôte était en cause).

Un problème agaçant c’est une connexion internet défectueuse. A Chicago, notre logement n’avait pas de connexion internet contrairement à ce qui était indiqué (On pourrait se dire que l’absence d’une connexion internet n’est pas un problème, mais dans ma manière de voyager, c’est presque indispensable car je réserve souvent du jour au lendemain sur AirBnB). J’ai contacté l’hôte du logement qui m’a indiqué que je ne savais pas m’y prendre et que ‘était de ma faute si je n’arrivais à faire fonctionner la connexion. Je me suis connecté sur leur routeur en filaire (toujours avoir un câble RJ45 avec soi) et j’ai pu faire apparaître que la connexion internet était suspendue pour non paiement. J’ai envoyé la copie d’écran à ArBnB et j’ai eu un remboursement d’environ 30% du prix de la location.

Un autre problème est un élément qui n’est plus disponible dans le logement. Cela m’est arrivé à Tel Aviv. Ainsi, le logement lors de la réservation faisait mention d’un lave linge. Nous devions rester plusieurs jours dans ce logement et c’était un élément important. En ce connectant sur le site AirBnB à la page du logement, le lave linge n’était plus mentionné dans la description, il avait été enlevé entre temps…Nous avons signalé la chose à l’hôte et à AirBnB. AirBnB nous a demandé des copies d’écran de la description de l’appartement au moment de la réservation. J’ai eu de la chance sur ce coup là car j’avais encore la page web en cache sur mon ordinateur portable et j’ai pu fournir la preuve qu’un lave linge était bien mentionné lors de la réservation. L’hôte nous a proposé de nous occuper de notre linge quand nous le souhaitions via un petit pressing local (qui est venu chercher et rapporter notre linge à notre domicile). iI est donc conseillé de sauvegarder la page web concernant le logement lors de la réservation.

Une autre surprise peut vous attendre: Tout est conforme sauf que les photos ont été prises au grand angle et que le logement est beaucoup plus petit que ce à quoi vous vous attendiez. Pas grand chose à faire dans ce cas, juste le mentionner dans les commentaires.

Il arrive que vous cassiez quelque chose (un verre par exemple) dans le logement. Le signaler aussitôt au contact. S’il ne s’agit que de vaisselle, en général cela ne pose pas de problème (c’est de la vaisselle ikéa à deux balles).

Il peut arriver aussi que quelque chose tombe en panne lors de votre séjour. Il faut alors contacter l’hôte pour le signaler. Une climatisation est tombée en panne en Israël et l’intérieur du logement était devenu un enfer. Notre hôte (qui n’était pas sur place) nous a fait apporter des ventilateurs en attendant la réparation qui a eu lieu le lendemain. Bien sur, il y a une petite contrainte: Etre là pendant la réparation mais il faut être prêt à accepter ce genre de contraintes: nous ne sommes pas non plus à l’hôtel !

Le départ

Il convient de laisser les lieux dans un bon état de propreté même si des frais de nettoyage sont perçus lors de la réservation. Au minimum, il faut avoir fait la vaisselle (ou laisser le lave-vaisselle vide). Les poubelles doivent être vidées, attention au tri (sauf indication contraire) et les draps, taies d’oreiller, housse de couette et linge de toilette entassé dans un coin.

Si vous êtes seul au moment du départ, respecter les consignes, laisser les clés dans la boite aux lettres ou dans la boîte à clés et envoyer un petit message au contact pour indiquer que vous quittez le logement.

Conclusion

Voilà, j’espère que ces quelques trucs concernant AirBnB vous seront utiles. En général, cette plate-forme ne pose pas de problème et pour peu que vous choisissiez des hôtes bien notés (ou bien des hôtes récents pour lesquels le contact est très bon).

Pour ma part, je n’ai jamais franchement eu de mauvaises surprises avec AirBnb. J’ai toujours apprécié mes choix, leur environnement, la qualité de la décoration ou tout simplement la possibilité de faire un barbecue dans le jardin ! Le fait de se retrouver dans un environnement plus vaste qu’une chambre d’hôtel mais aussi beaucoup moins impersonnel me fait toujours envisager le choix AirBnB avant le choix hôtelier classique.

Quelques souvenirs de AirBnB…

 

L’application Tydlig pour iOS : La calculatrice révolutionnaire !

J’évoque aujourd’hui un produit trop méconnu : Tydlig. Tydlig est une application de calculatrice pour iOS (iPhone et iPad) et elle est vraiment révolutionnaire.
Lorsque vous la démarrez, Tydlig vous propose l’environnement dans lequel vous avez utilisé l’application pour la dernière fois. Si c’est la première fois que vous l’utilisez, la page d’accueil sera blanche avec dans sa partie inférieure un clavier de saisie.
Il faut voir Tydlig comme une sorte de tableur où vous pouvez placer librement vos données (il n’y a pas de cellules), le concept est très spécial mais vite indispensable quand on utilise souvent une calculatrice.
Au fur et à mesure de votre frappe, les calculs sont réactualisés automatiquement:

Vous pouvez reprendre n’importe quelle valeur (saisie ou calculée) et la réutiliser dans un calcul:

Vous pouvez affecter des labels qui s’affichent au-dessus de chaque valeur, ceux-ci seront automatiquement repris si vous réutilisez la valeur pour un calcul en cascade. Un code couleur indique également le rapport entre les différentes données de votre page:

Il est possible, pour chaque entrée, de la faire varier dans un intervalle avec un curseur et ainsi pouvoir évaluer facilement différents scénarios.

A tout moment, vous pouvez faire apparaitre un graphique représentant une fonction mathématique que vous étudiez.

Bien entendu, toutes les fonctions classiques des calculatrices sont présentes. Il est possible d’exporter votre page de calcul au format PDF.
Sur iPad, elle est encore plus impressionnante : La page étant plus grande (l’appli n’est pas en mode de compatibilité iPhone), elle permet l’affichage simultané de beaucoup de données, ce qui est très agréable.

Il ne s’agit cependant pas d’une calculatrice programmable: il ne vous est pas possible de créer vous-même une fonction que vous pourriez stocker de façon permanente et réutiliser quand bon vous semble. Il n’est pas possible non plus de créer des canevas réutilisables ni de sauvegarder une page pour la réutiliser à l’envie : La seule « sauvegarde » possible est de quitter l’appli sans effacer la page (les fonctions classiques d’annulation d’une saisie ou bien de l’ensemble des saisies/résultats d’une page sont bien évidemment présentes).

Malgré tout, l’application bien qu’assez ancienne (cela fait plus de 3 ans que je l’utilise) réinvente complètement la calculatrice. Malgré son prix (environ 2 €), je la recommande vivement dès que vous avez plus de 2 calculs enchaînés à faire, elle vous fera gagner un temps précieux !
Une petite vidéo de démonstration:

La caméra de surveillance IP Knewmart

Reprise d’un article du 18/04/2017.

J’ai acheté il y a quelques jours une caméra de surveillance sur Amazon. L’objectif était d’avoir une caméra capable de diffuser des images de mon intérieur sur mon téléphone alors que je suis absent de mon d omicile.
Après consultation du choix sur Amazon, je me suis porté sur une caméra très bien notée de marque KnewMart assez récente sur Amazon car mise en ligne en décembre 2016.

Je suis très content de mon achat car ce petit bijou a plein de qualités et il fonctionne très bien, jugez plutôt :

  • Haute définition 720p en couleur, l’image est vraiment belle, bien définie et contrastée.
  • Wifi ou câble Ethernet (pour ma part, elle fonctionne en Wifi)
  • Positionnable en intérieur ou extérieur
  • Discrète.
  • Fluidité de la vidéo (ce n’est pas du 24 im/s mais cela reste malgré tout très fluide sans lag… ma liaison fibre y est aussi pour beaucoup).
  • Simplicité d’installation (presque rien à faire !).
  • Tête motorisée orientable à distance dans tous les sens via l’application du téléphone (355° en rotation et 90° en inclinaison)
  • Mode nuit vraiment efficace (même si l’on ne peut pas reconnaître quelqu’un en mode nuit, on voit très bien ce qu’il se passe). Les LED infrarouge portent à 10m.
  • L’application fournie permet de programmer des angles de vue pour un accès direct à l’angle de vue souhaité.
  • Possibilité de déclencher une prise de photos et/ou vidéos lors de la détection d’une présence (avec notification sur le téléphone).
  • Zoom.
  • Micro permettant de capter l’ambiance sonore.
  • Haut-parleur : Il est possible de diffuser votre voix à travers la caméra (vous parlez dans le téléphone et votre voix est diffusée par la caméra).
  • Possibilité de stocker les images sur une carte SD située dans la caméra (24 heures d’enregistrement continu !)
  • L’application permet de gérer simultanément 4 caméras de la même marque.
  • Possibilité de prendre des photos ou des vidéos à distance à partir de l’application sur le téléphone.
  • Le prix est de 46 € port compris !

C’est une caméra capable d’être positionnée en extérieur mais je ne connais pas les caractéristiques d’étanchéité. A mon avis, il vaut mieux qu’elle soit bien à l’abri de la pluie… En tout cas, pour mon utilisation en intérieur c’est parfait et je ne regrette absolument pas mon achat. Si vous êtes à la recherche d’un produit de cette nature, allez-y !

Ma fourchette connectée SlowControl

Reprise d’un article d’avril 2017

C’est bien connu, ce n’est pas bon pour la santé de manger trop vite : La notion de satiété n’a pas le temps d’arriver, on ne mâche pas assez (laissant tout le boulot à l’estomac). De plus, socialement, c’est pénible de systématiquement terminer son assiette avant tout le monde. Moi, j’ai tous ces défauts-là et depuis tout petit ! Je ne peux me retenir devant mon assiette : Il faut que je la finisse « le plus vite possible » et je me jette comme un gros goulu dessus sans réfléchir et en oubliant toutes mes bonnes résolutions pourtant bien présentes dans ma tête quelques secondes avant d’être servi !.
Pour corriger ce défaut, je me suis acheté il y a quelques semaines une fourchette connectée de la marque SlowControl (Il me semble qu’ils sont les seuls sur ce créneau).

Comment ça marche ? Est-ce efficace ?
La fourchette connectée est une vraie fourchette qui détecte vos mouvements et vous prévient lorsque vous portez la fourchette à votre bouche sans respecter une durée que vous avez choisie. Elle vous prévient par une petite diode lumineuse et également par une vibration. L’intervalle entre deux coups de fourchettes est réglable via une application iOS/Androïd gratuite (on ne dit pas fourchetée, ce terme signifie autre chose !). La communication entre l’appli et la fourchette s’effectue en BlueTooth. Une fois réglé le comportement de la fourchette (réglage durée intervalle et signification des diodes lumineuses), la fourchette peut très bien être utilisée seule de façon autonome sans être connectée. Elle vous préviendra que vous mangez trop vite comme une grande (et assez discrètement). Si vous désirez analyser votre repas, vous pouvez aussi décider de manger avec la fourchette connectée à l’appli et vous obtiendrez des statistiques en temps réel sur votre nombre de « coups de fourchettes à la minute » (mais je n’en vois pas bien l’intérêt).
La solution est très efficace et cela marche très bien. J’ai réglé un intervalle de 10 secondes et une diode qui du rouge passe au vert quand les 10 secondes sont écoulées. Je n’ai pris en défaut la fourchette qu’une seule fois : Manger des spaghettis trompe les capteurs de la fourchette (les mouvements un peu spéciaux lui font croire qu’elle a été portée à la bouche alors qu’il n’en est rien.). Dans ce cas, si vous voulez manger tranquille, vous éteignez la fourchette (la diode fait aussi office d’interrupteur).
La fourchette possède une prise micro-USB pour être rechargée (une fois tous les 15 jours). Elle ne passe pas au lave-vaisselle ou alors il convient de démonter la partie électronique auparavant.

Elle est livrée avec un couteau assorti dont l’usage est conseillé afin d’éviter des interférences (d’après la notice). Pour ma part, avec ou sans le couteau adapté, cela fonctionne bien. Il y a plusieurs coloris disponibles. Les deux couverts sont livrés dans un étui très pratique.
Le seul inconvénient que j’ai trouvé à cet ustensile bien pratique est qu’il n’est pas très discret : C’est un peu la fourchette de Oui-Oui. Difficile de passer inaperçu avec ça dans un grand restaurant … Laissez-la à la maison ! Et c’est dommage car c’est plus sur ces moments de convivialité que vous aimeriez faire durer votre assiette !
Une dernière chose : Chassez le naturel, il revient au galop : Sans ma fourchette SlowControl, je recommence à manger rapidement ! il faut croire que c’est une habitude difficile à perdre !

Test du Xiaomi Mi Band 2

Mise à jour du 03/01/2018:

J’ai malheureusement changé d’iphone sans dé-jumeler le bracelet dans l’application Xiaomi (Ce qu’il ne faut jamais faire !): Mon bracelet ne peut plus se connecter à aucun device depuis ce changement. Il apparait, en cherchant sur les forums, que pour un changement de téléphone, il convient de supprimer le bracelet dans l’application Xiaomi ce qui permet au bracelet d’être ré-associé à un autre téléphone. Pour ma part, je ne l’ai pas fait et j’ai fait un reset usine sur l’iPhone sans supprimer l’association (il ne s’agit pas de l’association Bluetooth, mais bien de l’association du bracelet avec l’application sur le téléphone). Depuis, il m’est impossible (et le SAV me l’a bien confirmé) de ré-associer le bracelet à mon nouveau téléphone (et ré-installer l’application Xiaomi sur l’ancien téléphone ne mène pas plus loin …). Ja’i depuis investi dans une Apple Watch qui me donne entière satisfaction.

Reprise d’un article écrit en avril 2017 (sur mon ancien blog Havreetautres.fr.

J’ai acheté mon Xiaomi Mi Band 2 pour remplacer ma ceinture cardio BlueTooth Polar dont le bluetooth ne fonctionne plus. Ce bracelet d’activité d’origine chinoise est extrêmement bon marché : une vingtaine d’euros.

Est-ce qu’il fait le job ? Vous le saurez dans les lignes qui suivent …

Le bracelet est très léger, son autonomie d’une quinzaine de jours. Il n’est pas désagréable à porter. Il offre les fonctions suivantes : date/heure, notification sms/tweet (par vibration), nombre de pas, km parcourus et surtout il indique la fréquence cardiaque.
C’est surtout cette possibilité d’avoir ma fréquence cardiaque qui a motivé cet achat, les autres fonctions étaient déjà remplies par mon iphone 7. L’obtention de la fréquence cardiaque se fait en sélectionnant le mode qui va bien sur le bracelet, au bout d’un temps de 3 à 4 secondes, la fréquence cardiaque s’affiche. Elle est relativement juste car je l’ai comparée avec un cardio qui se positionne sur un bout de doigt lors d’une visite médicale (l’écart était de 1 pulsation : 63 contre 64). Lorsque j’ai reçu mon bracelet, l’obtention de la fréquence cardiaque était assez aléatoire mais depuis la dernière mise à jour du firmware du bracelet, elle est infaillible.
Malgré tout, je suis déçu par ce bracelet qui n’offre pas un affichage en continu de la fréquence cardiaque : Il faut relancer le processus pour obtenir une nouvelle fréquence cardiaque … C’est loin d’être suffisant pour quelqu’un qui court et qui veut superposer son tracé de pulsations à son parcours de running.
J’ai eu vent d’une application iOS payante permettant de s’affranchir de cette limitation : Mi HR. Cette application devait permettre de récupérer la fréquence cardiaque en permanence et de la rendre disponible pour les autres applications (iSmoothRun, Runkeeper, etc). La promesse est loin d’être tenue et l’application fonctionne quand elle le veut bien. Je déconseille donc l’achat de cette application !
Depuis, j’ai lu un peu de littérature sur ce bracelet… Xiaomi indique que la fiabilité de la mesure de la fréquence cardiaque n’est assurée que lorsque l’on n’est pas en mouvement, bras et poignet immobiles … cette dernière limitation donne le coup de grâce à une utilisation de ce bracelet pour le sportif…Pour les autres, pourquoi pas …

Choix d’une liseuse: Kindle ou Kobo ?

Force est de constater autour de moi que le marché des liseuses numériques est trusté par ces deux candidats : Kindle et Kobo. J’entends deci delà quelques allusions à une liseuse Sony mais ça cause pas bien fort de ce côté là… Ayant possédé successivement des Kobo puis une Kindle, je vais vous indiquer pourquoi je préfère l’une ou l’autre à travers une comparaison.

Je ne reviendrai pas sur les avantages d’une liseuse électronique par rapport au livre traditionnel: Poids plume, possibilité d’avoir une partie de sa bibliothèque avec soi (pratique en vacances), lecture d’une seule main (pas de pages qui volent au vent et imposent d’avoir les deux mains qui tiennent le livre), dictionnaire accessible à tout moment…Et surtout, possibilité de régler la police et la taille des caractères affichés et l’espace interligne. Petite cerise sur le cake, les liseuses vous indiquent votre progression dans le livre (pourcentage) et calculent pour vous le temps restant pour terminer le chapitre en cours (en fonction de votre vitesse de lecture actuelle). C’est très pratique pour savoir si vous avez le temps de terminer un chapitre avant de le commencer ! Les liseuses ne sont pas destinées à lire des fichiers PDF et le confort de lecture avec les PDF n’est pas le même qu’avec des fichiers prévus pour liseuse (pas de réglage de la taille de la police avec des PDF). Pour les deux marques, il est possible d’envoyer directement des articles comme des pages Web sur la liseuse via Wifi afin de pouvoir ensuite les lire sur la liseuse sans être connecté. La plupart des navigateurs proposent des plugin d’exportation de page web.

Tout d’abord, j’ai eu deux Kobo que j’ai revendues pour acheter une Kindle. Ma première, le modèle Kobo Touch,  n’était pas rétroéclairée et ne peut donc pas rivaliser avec les deux modèles de liseuses passés entre mes mains par la suite. Je vais éluder très vite la Kobo Touch : Format de poche (moins épaisse qu’un livre), elle fait le minimum, elle est pratique et pas ruineuse.

Le premier critère d’achat pour une liseuse est de savoir si l’on veut un modèle rétroéclairé ou non. Kindle et Kobo proposent les deux types. Un modèle rétroéclairé est plus onéreux mais il faut savoir que même en plein jour, le rétroéclairage (réglable en intensité) procure une belle blancheur à la page ce qui est très agréable à l’œil. La nuit, il permet de lire sans avoir à allumer la lumière de la lampe de chevet ce qui est appréciable lorsque l’on est insomniaque et en couple…

Ma première Kobo rétroéclairée était un modèle Glo. Cette liseuse possède un port microSD en plus de sa mémoire embarquée. Le point fort des modèles Kobo, c’est leur capacité à lire directement des fichiers ePub. ePub est le format de livre électronique le plus répandu. Vous branchez la Kobo sur votre ordinateur et Hop !, vous transférez et vous pouvez commencer à lire. La mémoire d’origine permet de stocker assez de livres pour vos 5 prochaines années de lecture, ce n’est pas vraiment un critère de choix pour une liseuse. La Kobo possède une connexion Wifi et permet de parcourir le magasin de livres Kobo et d’en acheter à partir de la liseuse. Le téléchargement commence alors et très rapidement le livre se trouve téléchargé sur la liseuse. L’autonomie est de plusieurs semaines. Le point faible de Kobo c’est sa réactivité : Attendre un quart de seconde que votre action sur l’écran tactile soit prise en compte est vraiment pénible (parcourir rapidement un livre est un cauchemar). J’ai revendu ma Kobo Glo car celle-ci ne supportait pas la chaleur des plages israëliennes : La liseuse se figeait toutes les 10 minutes dès qu’il faisait un peu chaud. Je devais alors la rebooter ce qui devenait assez fastidieux (j’adore lire à la plage…).

J’ai donc voulu changer de crémerie…Je suis allé voir le concurrent le plus proche: Amazon. J’ai choisi le modèle Kindle Paperwhite sans publicité (Amazon propose une petite réduction sur sa Kindle si vous acceptez de « recevoir » de la publicité pour certains livres sur votre Kindle. Rassurez-vous, cette pub n’intervient jamais pendant votre lecture, c’est juste une proposition qui s’affiche quand vous allumez votre Kindle). La PaperWhite est la concurrente de la Glo de Kobo. L’affichage de la PaperWhite est sensiblement de la même qualité que celui de la Glo, peut-être un peu plus blanc mais cela reste à vérifier. La réactivité de la PaperWhite est impressionnante (par rapport à la Kobo) : Elle obéit au doigt sans latence, ce qui permet d’effectuer toutes les actions du premier coup, sans se tromper. La Kindle ne possède pas de port pour une carte mémoire d’extension mais ce n’est pas gênant : De base la mémoire est très confortable (plusieurs centaines de livres…). Etrangement, la liseuse n’affiche pas la couverture du livre en cours de lecture lorsqu’elle n’est pas utilisée (la Kobo le faisait) . Comme nous possédons chacun notre PaperWhite mon épouse et moi, il n’est parfois pas facile de distinguer l’une de l’autre : Il est parfois nécessaire d’allumer une des deux pour cela. Les Kindle ont aussi une connexion Wifi permettant d’accéder à l’immense catalogue de livres numériques d’Amazon et d’acheter à partir de la liseuse (comme chez Kobo). Le point noir des liseuses Amazon, c’est leur fermeture au standard ePub : Vous ne pouvez pas transférer directement un fichier ePub vers une Kindle. Il faut auparavant lui faire subir une transformation à l’aide de logiciels (gratuits). Pour ma part, j’utilise pour cela Calibre (qui tourne sur Mac et PC). Calibre est très facile à utiliser mais malgré tout, c’est un point d’attention pour les personnes qui ne possèdent pas d’ordinateur à la maison. Une autre alternative est d’utiliser le programme d’Amazon KindleGen (gratuit lui aussi). Le format de prédilection à utiliser pour la Kindle est le mobi (Calibre gère très bien la transformation de ePub en mobi).  Avantage énorme du Kindle par rapport à la Kobo : Chaque Kindle possède une adresse email et vous pouvez envoyer des fichiers mobi à la Kindle par mail, ceux-ci seront directement intégrés comme livres dans la bibliothèque de la liseuse de manière complètement transparente. C’est très pratique pour mettre de nouveaux livres sur sa liseuse sans la connecter ou pour envoyer un livre à quelqu’un qui se trouve à l’autre bout du monde. Un dernier point positif : Les liseuses Kindle sont les seules à posséder la police d’affichage Bookerly que je trouve très agréable.

Voilà, j’ai fait mon petit tour d’horizon. Si vous n’avez pas encore de liseuse, vous pouvez enfin vous décider !